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Anna
Pestalozzi-Schulthess; peinture en huile de
F.G.A. Schöner, 1804
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Une autre motivation à se former dans l'agriculture c'est la
liaison d'amour avec Anna Schulthess, 8 ans plus âgée que
lui. Après le mort de l'ami commun des "patriotes" Johann
Kaspar Bluntschli (sobriquet Menalk) se développe une
relation d'amour avec une obligation morale à étoffer les
idéales de Bluntschli. Il avait aussi été un pionnier pour
l'égalité de toutes les couches sociales.
Chez famille Schulthess Pestalozzi reçoit une interdiction
d'accès. La relation est maintenue par des rencontres
secrètes et des lettres dont 468 lettres du temps entre
printemps 1767 et le marriage en septembre 1769 sont
conservées. Les lettres donnent l'expression de l'amour
passionnante de Pestalozzi, mais Anna hésite au
commencement, montre seulement graduellement un une
complaisance froide, puis le la percée de la passion
d'amour. Puis arrive le développement mutuel plein de
poésie, humour et tendresse, puis la lutte commune pour la
vérité et la vertu et la bataille pour l'amour contre les
parents riches Schulthess avec toutes les humiliations et
blessures.
Pestalozzi voit une perspective supérieure, arrive dans des
réflexions impitoyables et en même temps il calcule avec
l'aide de la parenté Schulthess. Il veut réaliser les idées
d'éducation de Rousseau et il ne veut pas laisser développer
ses fils d'une sorte artificielle de la ville. En même temps
on a aussi des sons dépressives et mélancoliques avec des
visions de maladie et mort. Mais la première chose c'est
d'aller en campagne avec Anna. Il dévoue à l'illusion des
peintures idylliques de la vie champêtre avec le but à
révolutionner la vie des hommes.
Anna hésite contre les visions de Heinrich Pestalozzi pour
des semaines et des mois jusqu'au moment dans lequel elle
est sûr de son amour, témoigné dans la lettre en 19me aout
1767. Peu de temps après Pestalozzi commence son
apprentissage agricole en septembre 1767. Le contact avec
Anna est maintenu par des amis et des frères. En même temps
Pestalozzi conserve un certain orgueil: Il finit
l'apprentissage chez Tschiffeli déjà après neuf mois,
retourne à Zurich et pense qu'il soit maintenant déjà un
entrepreneur agricole...
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Carte de Birr près de
Schinznach-les-bains
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Le temps au "Neuhof" chez Birr 1769-1798
Zusammenfassung aus: Arthur Brühlmeier,
Gerhard Kuhlemann: Neuhofjahre: 1769-1798;
http://www.heinrich-pestalozzi.info
L'achat du domaine Neuhof près de Birr
Pestalozzi achète près du village Birr (près de
Schinznach-les-bains, aujourd'hui canton Argovie) une
ferme et laisse construire une maison plutôt seigneuriale,
le "Neuhof". Pendant ces 30 années Pestalozzi va réaliser
plusieurs projets, parfois seulement partiellement
réaliser avec des expériences.
À l'époque Birr était part
de Berne.
(aus: Brühlmeier / Kuhlemann: Pestalozzi
comme éducateur des pauvres (orig.: Pestalozzi als
Armenerzieher); http://www.heinrich-pestalozzi.info)
L'idéal du paysan et de son travail chez Pestalozzi:
Les voisins détruisent la récolte par droit coutumier -
retraites de crédits - mauvaises récoltes résultent en
faillite
Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard
Kuhlemann: L'idéal du paysan et de son travail chez
Pestalozzi (orig.: Das Ideal des Bauern und der Bauer
Pestalozzi); http://www.heinrich-pestalozzi.info;
Chez
Johann Rudolf
Tschiffeli pendant la formation Pestalozzi
avait appris la cultivation des fruits, des légumes, la
plantation et le soin de nouvelles plantes, la
conservation des fruits des champs et des fruits,
l'amélioration de la terre par des méthodes d'engrais, les
calculs économiques nécessaires et le comportement envers
les marchants. Cela devrait être suffisant pour
l'entretien de la famille. En outre des divers sources
financières sont disponibles: Un héritage riche de son
père qui a mouru tôt, un prêt de l'oncle du côté
maternelle, et une avance d'une banque zuricoise qui
appartient lointain à la famille de Anna.
Dans des divers lettres à son idole
Anna Schulthess
Pestalozzi dit toujours et toujours que son activité
devrait être compris pour le bien de tout le peuple. Comme
ça Pestalozzi a moins d'expérience de la joie que plus le
douleur, la renonciation et la déception. Pestalozzi
achète au petit village
Birr
une territoire de plus que 20 hectares de plus que
50 paysans, un territoire classifié comme pré et champ
pauvre, pour construire des nouvelles maisons, le "
Neuhof", ou il éprouve
son économie jusqu'à 1798 et retourne en 1825.
1798 à 1801 le "Neuhof" est dirigé par le seul fils de
Pestalozzi, après son mort du second mari de la veuve
survivante, à la fin du seul petit-fils de Pestalozzi,
Gottlieb. Aujourd'hui
le Neuhof est un institut d'éducation et de formation pour
des jeunes menacés.
Pestalozzi veut appliqué des nouvelles méthodes de
cultivation: nouvelles méthodes de fertilisation, la
cultivation de l'
esparsette
/ le sainfoin (Onobrychis viciaefolia) comme
nouvelle plante fourragère, et la
garance / rouge des
teinturiers (rubia tinctorum) avec un colorant
rouge pour l'industrie textile.
Esparsette / sainfoin
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Garance / rouge des teinturiers
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Mais les difficultés se cumulaient dès le commencement. Le
spéculant de territoire et restaurateur et boucher à Birr,
Heinrich Märki,
jouait un tour à Pestalozzi. La famille Schulthess ne lui
donne pas des conseils concernant des choses commerciales.
En même temps Pestalozzi a un caractère de ne pas accepter
volontiers des conseils. Aussi sa femme Anna n'est pas une
personne économe et la relation aux voisins ne peut pas se
développer bien à cette base.
La méfiance et la défiance augmentent, les voisins
détruisent ses cultures fragiles comme ça serait une pré
et pendant l'année de friche ils laissent paître le menu
bétail sur les champs de Pestalozzi comme pendant la
culture à trois assolements d'autrefois selon un droit pas
écrit. Premièrement Pestalozzi tente à corriger ça avec
des bons mots, puis il prend des mesures avec des
clôtures, et puis avec des actions judiciaires. Il gagne
mais il perd définitivement le voisinage. Autres paysans
diffament Pestalozzi chez ses argentiers, même le propre
valet indique au banquier de Zurich que les chances de
succès des projets de Pestalozzi ne seraient pas très
grandes.
Le 12 aout 1770 le banquier déclare la faillite concernant
l'entreprise Pestalozzi et retire son capital. On n'a pas
encore récolté, et la charpente de la nouvelle maison
n'est même pas encore construit... Maintenant donc la
terre se montre comme inadapté pour la cultivation de
garance. Les mauvaises récoltes en tout l'Europe de 1771
et 1772 pourrissent la situation encore, et Pestalozzi
commence à éprouver la production animale, mais sans
connaissances. Comme ça la montagne des dettes monte, et
en 1774 la faillite arrive. Il vend son bétail, il afferme
un grand part de son territoire et même comme ça il reste
dans les dettes. La famille d'Anna lui règle les dettes,
mais maintenant Pestalozzi a perdu sa réputation aussi
chez ses beaux-parents.
Le fils Jean Jacques: Expériments d'éducation avec un
enfant épileptique - mise en question des idéales de
Rousseau - conclusions d'une solution intermédiaire
Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard
Kuhlemann: Le fils Jean Jacques (orig.:Der Sohn
Hansjakob); http://www.heinrich-pestalozzi.info
Jean Jacques Pestalozzi
est né le 13 aout 1770 et baptisé sur le non
Jean Jacques en
l'honneur de Jean Jacques Rousseau. Il y a un fragment
d'un journal du 27 janvier jusqu'au 19 février 1774 ou est
décrit un essaie de structurer l'éducation selon les
idéales de Rousseau. Pestalozzi fait un protocole la
réalisation pratique des idéales pratiquement avec un
jugement critique ce qui fonctionne et ce qui ne
fonctionne pas. Avec la dispute entre liberté et
obéissance on a la première distance à Rousseau.
Pestalozzi a une cognition importante:
"La vérité n'est pas
unilatérale." Et il continue: "La liberté c'est un bien,
et l'obéissance aussi. Nous devons connecter les deux ce
que Rousseau (a) séparé. Lui, il était convaincu de la
misère et il ne connaissait pas d'inhibition qui
abaissait les sexes humains, et en même temps il ne
connaissait pas des limites de liberté." (Édition des
oeuvres complètes critique, PSW 1, p.127).
(orig.: "Die Wahrheit ist
nicht einseitig." Und er fährt fort: "Freiheit ist ein
Gut, und Gehorsam ist es ebenfalls. Wir müssen
verbinden, was Rousseau getrennt (hat). Überzeugt von
dem Elend einer unweisen Hemmung, die die Geschlechter
der Menschen erniederte, fand er keine Grenze der
Freiheit." (Kritische Gesamtausgabe, PSW 1, S. 127).
En même temps le fils Jean Jacques ("
Jacqueli") est
handicapé avec peu de "talent" et il a régulièrement des
attaques épileptiques qui faiblissent sa santé. En même
temps le fils est confronté avec beaucoup des
enfants négligés de la maison des pauvres du père
qui lui dévoient encore en plus. Avec 3 ans déjà
Pestalozzi veut apprendre le petit fils à lire, mais 8
années plus tard il doit avouer à
Peter Petersen que se
projet était totalement sans succès:
"Il ne sait même pas deux
lignes de prière par coeur, il ne sait ni écrire ni
lire. J'espère avec dieu que cette ignorance soit
la base d'une formation excellente et de sa joie de
vivre. La providence me permet le laisser faire."
(Édition des oeuvres complètes critique, PSB 3, p.132)
(orig.: "Er kann keine
zwei Linien Gebete auswendig, er kann weder schreiben
noch lesen. Ich hoffe zu Gott, diese Unwissenheit, in
welcher die Vorsehung mir erlaubt, ihn lassen zu können,
werde das Fundament seiner vorzüglichen Ausbildung und
seiner besten Lebensgeniessungen sein." (Kritische
Gesamtausgabe, PSB 3, S. 132)
Seulement avec 13 ans les Pestalozzis peuvent décider à
finir l'isolation du fils au Neuhof et lui faire éduquer
et former ailleurs. Le fils est donné auf marchand bâlois
Felix Battier avec
Peter Petersen
comme instituteur privé. Les lettres sont collecté sous le
nom de "
Lettres de
Petersen" (orig.: "Petersenbriefe"). Le fils
"Jacqueli" fait sa formation à
Mulhouse, fait une
formation de marchant chez la famille Battier à Bâle et
puis retourne au Neuhof à Birr. En 1791 il marie
Anna Magdalena Frölich
et a un fils
Gottlieb.
"Jacqueli" meurt tôt en 1801. Le fils de Gottlieb
Charles,
l'arrière-petit-fils, reste sans femme et sans enfant. La
ligne Pestalozzi disparaît comme ça.
Pestalozzi comme éducateur des pauvres: Des mauvaises
récoltes et manquant capitalisme résultent d'une
nouvelle fois en faillite - isolation
Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard
Kuhlemann: Pestalozzi comme éducateur des pauvres
(orig.: Pestalozzi als Armenerzieher);
http://www.heinrich-pestalozzi.info
Après la faillite de l'agriculture Pestalozzi change et
commence une commerce de coton: Il reçoit les ballots de
coton crus chez la parenté de Schulthess et les laisse
traiter dans l'entourage proche de Birr dans des pièces de
filage et des pièces de tissage. Mais pour le profit
capitaliste Pestalozzi n'a pas le talent. Aussi dans cette
commerce les argentiers doivent accepter des pertes
financières.
Mais en même temps Pestalozzi est convaincu que les
enfants négligés peuvent seulement recevoir de l'aide avec
du travail et de la culture pour être capable à gagner la
vie en ordre plus tard. Il développe la pensée d'une école
des pauvres avec filage, tissage, cultivation des légumes,
avec une connection dans l'industrie textile fleurissante.
Dès 1773 il accepte des pauvres enfants au "
Neuhof" dans sa
maison, nourriture, vêtements et maison gratuit, avec
enseignement à travailler et avec éducation. Comme ça sa
ferme devient une
maison
des pauvres en 1774, un nouveau espace pour des
gens sans argent pour travailler contre la pauvreté, en
1776 avec 22 enfants déjà, en 1778 avec 37 enfants. Il
laisse construire une pièce de fabrication et une maison
d'enfants. Lui même il donne lire et calcul aux enfants.
Le but devrait être à échauffer les enfants d'une vie
morale en vérité et amour.
Pestalozzi reconnaît la situation sociale et son rôle,
décrit dans ses écrits des pauvres, le plus fortement dans
les trois lettres à
Niklaus
Emanuel Tscharner, un protecteur influant d'une
noble famille de gouvernement de la ville et du canton de
Berne. Birr
autrefois est territoire de Berne, et Tscharner est le
bailli de 1767 à 1773. Tscharner publie aussi des oeuvres
de sa part sur l'éducation des pauvres dans les "
Éphémérides de l'humanité"
(orig.: "Ephemeriden der Menschheit"), un journal pour
éthique politique publié du greffier bâlois
Isaak Iselin. Donc le
praticien Pestalozzi doit corriger quelques écrits
théoriques de Tscharner, trois lettres qui sont aussi
publiées dans les "Éphémérides".
Pestalozzi reste trop peu capitaliste et aussi sa maison
des pauvres arrive en faillite. Pestalozzi arrive dans le
piège des dettes: Il prête de l'argent chez des amis, des
connaissances, chez la parenté et à la fin il publie une
prière d'un prêt au publique. Il promet aux argentiers le
remboursement des sommes dues parce qu'il est convaincu
que les enfants - quand ils sont grands - vont maintenir
l'entreprise avec du profit. Mais Pestalozzi se trompe:
Les enfants - nettement vêtues, bien nourris et bien
formés - sont pris des parents à la maison pour faire les
travailler avec du profit dans la propre maison. En même
temps les produits de la maison des pauvres manquent de
qualité et l'on les vend des prix modérés au marché sans
assez de profit.
D'autres mauvaises récoltes en 1776 et 1777 diminuent les
recettes encore en plus. Une tempête en 1777 détruit
presque toute la récolte de Pestalozzi. On doit acheter
les réserves pour l'hiver. En 1778 son épouse
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Franziska Romana de Hallwil
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Anna même renonce à son héritage pour payer les dettes de
Pestalozzi. Et en 1779 Pestalozzi doit liciter un tiers de
son territoire. Le frère de Pestalozzi
Baptist devrait
réaliser cette affaire et donner l'argent reçu à
Pestalozzi, mais Baptist prend le large avec la grande
somme d'argent. Le 17 février 1780 il écrit d'
Amsterdam une lettre
de regret au cousin de Anna,
Johann Georg Schulthess, qu'il avait déçu
sa mère amante et qu'il ne va plus la voir. Puis on
n'entend rien non plus de lui. Peut-être il a mouru dans
des services de guerre étrangers ou il a parti pour
l'"Amérique"...
Dans son résumé de la vie dans le "
chant du cygne"
(orig.: Schwanengesang") Pestalozzi écrit:
"Notre sort était résolu.
Maintenant j'étais pauvre." (Édition des oeuvres
complètes critique, PSW 28, p.234).
Pendant cette période ni les amis ni la parenté veut
quelque chose à faire avec Pestalozzi. Le voisinage le
bafoue en plus. Sa femme Anna Pestalozzi devient malade de
trop de travail et doit se soigner des mois ailleurs,
surtout chez la comtesse
Franziska
Romana de
Hallwil,
dès 19 veuve, avec amitié psychique à Pestalozzi même.
Dans cette situation Pestalozzi a encore deux grandes
amis:
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Isaak Iselin
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-- la servente
Elisabeth
Näf ("Lisabeth"), depuis environs 1780 au
Neuhof, ajustant les jardins laissés à l'abandon,
respecté de Anna Pestalozzi et travaillant dans la
maison Pestalozzi jusqu'à 1825
-- le clerc
Isaak
Iselin de la ville de
Bâle qui reste à
manifester son amour et sa grande estime, un
représentant de "philanthropes" (amis de l'espèce
humaine), un mouvement réformateur de toutes les
sections de la vie en référence de Rousseau: Avec ses
écrits il sauve Pestalozzi de son désespoir.
Pestalozzi continue à songer d'une maison des pauvres
couronné de succès. Pour un temps court il va réaliser ses
rêves à Stans et Berthoud (dt. Burgdorf) et pour un temps
plus long à Yverdon.
L'écrivain Pestalozzi: Des livres, des écritures et des
images comme un avertissement publique pour des réformes
des circonstances sociales
Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard
Kuhlemann: Der Schriftsteller Pestalozzi;
http://www.heinrich-pestalozzi.info
Pestalozzi est arrivé en faillite mais il continue avec ses
idées à améliorer les circonstances sociales du monde. Il se
réfugie dans la peinture et littérature à accuser les
circonstances pour les enfants en publique: Avec
l'encouragement d'Isaac Iselin il peint et écrit des gens et
ses circonstances de vie. Comme ça on a 60 écrits grandes et
petites comme par exemple les livres populaires "
Lienhard et Gertrud"
(quatre volumes, dans le quatrième volume dans le
chapitre 41ème la "
philosophie
d'un lieutenant"), et "
Christophe et Else", "
L'heure de la soirée", "
De la loi et le meurtre
d'enfant", "
Journal
Suisse", "
Fables"
et "
Enquêtes".
Là-dedans Pestalozzi montre ses connaissances sociologiques,
avec des détails juridiques et historiques, comme auteur de
roman, comme éducateur et philosophe qui se confronte aux
questions principales.
Le temps entre 1780 et 1798 a le valeur comme le temps la
plus fertile concernant les écrits et comme "temps de la
grande crise de la vie". Pestalozzi subit de plus en plus de
sa propre pauvreté, de son isolement, du mépris, et surtout
du jugement général à être inutilisable. Pendant le
processus d'apprentissage il trouve le
chemin entre la bonté et l'égo
de l'homme qui est à contrôler. La croyance aux forces
internes de l'homme et aussi les sentiments religieuses
refroidissent, partiellement il même commence à méfier les
gens. Une série de faillites c'est une honte pour lui, mais
il continue à ne pas travailler à ses qualités de direction.
Partiellement il travaille dans sa ferme, il fait commerce
de détail avec du travail en chambre concernant une
imprimerie de tissu, il commence des relations avec d'autres
personnalités à l'intérieur et en étranger et il cherche
toujours de nouveaux travaux pédagogiques ou politiques. Il
spécule à un emploi au cours de l'empereur à Vienne qui
pourrait arranger son ami Iselin sous l'
empereur Joseph II.
social et progressif. Il écrit des critiques des livres, il
arrange dans des situations politiques tendues et - comme
citoyen urbain - il fait une demande d'emploi même comme
directeur d'une fabrication de soie zurichoise seulement
pour avoir assez de l'argent.
Dans le livre "
Lienhard et
Gertrud" Pestalozzi donne l'image de soi-même en
contact littéraire avec le ministre des affaires de finance
de Vienne, comte
Charles
Johann Christian de Zinzendorf, et dès 1787 aussi
avec le frère de l'empereur,
duc Léopold de la Toscana. Jusqu'à 1792
Pestalozzi compte sur un renouvellement interne de la
noblesse par se oeuvres à succès et par cela un emploi dans
la noblesse. Après que ses oeuvres ne montrent pas d'effet
il réduit cet oeuvre en 1790/92 en trois volumes. Après le
mort de
Joseph II. en
1790 et le mort de son successeur
Léopold en 1792 la relation entre
Pestalozzi et Vienne est rompue.
L'écrit "
De la loi et le
meurtre d'enfant" est écrit en connection d'un
sujet de concours en Allemagne: "Lesquelles sont les mesures
les meilleures à préserver à un meurtre d'enfant sans
favoriser la paillardise en même temps?" On avait une
récompense de 100 ducats - donné d'un inconnu - pour être
assez attractif pour une révision d'une façon rationaliste
concernant la législation pénal pour explorer les
motivations de la jeune mère.
Le "
Journal Suisse"
(orig.:
"Schweizer Blatt") est un journal littéraire hebdomadaire de
l'année 1792 pour la publication des textes de soi-même.
Mais les textes sont tellement compliqués que le journal ne
trouve pas beaucoup de lecteurs et la même année le journal
disparaît.
Pendant l'année 1797 Pestalozzi publie l'oeuvre
philosophique le plus important: "
Mes enquêtes sur le processus de la nature pendant
le développement du genre humain" (orig.: Meine
Nachforschungen über den Gang der Natur in der Entwicklung
des Menschengeschlechts"). C'est le moyen terme entre idéal,
réalisme et pessimisme, avec la distinction d'une nature
"animal", "basse", "sensitive" et une nature "plus haute",
"éternelle", "interne" et "divine" d'une autre côté.
Pestalozzi conserve ce modèle tendu du monde spirituelle
pendant toute sa vie.
Pestalozzi et la révolution:
Citoyen d'honneur en France - le jugement diversifié de la
révolution - des médiations politiques - l'expédition
criminelle français - journal populaire helvétique
Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard
Kuhlemann: Pestalozzi und die Revolution;
http://www.heinrich-pestalozzi.info
Aussi pendant la révolution et l'écroulement de la monarchie
en France dès 1789 Pestalozzi est encore convaincu à sauver
"le pure absolutisme" avec une pénétration sociale dans ses
structures. Soudain le 26 aout 1792 il est élu - à côté de
16 autres personnalités signifiantes de l'Europe - comme
seul suisse pour citoyen d'honneur de la France. Beaucoup de
questions de la révolution sont les mêmes comme les idéales
de Pestalozzi, ainsi par exemple les imaginations concernant
le ressort de la commerce et de la liberté d'agir comme
commerçant, la liberté de la presse, la liberté de la
religion, l'élimination des impôts injustes, l'élimination
de la loi des taxes et des améliorations de la formation du
peuple. Mais on trouve aussi des différences concernant le
terme égalité que Pestalozzi n'estime jamais spécialement,
et ce qui concerne le terme de la liberté que Pestalozzi
voit différencié.
Dès la convocation à être citoyen d'honneur de la France la
pensée démocratique est omniprésent chez Pestalozzi. Mais
son jugement sur la révolution est différentié, et il
renonce aux massacres et à la violence, par exemple dans son
écrit de révolution jamais édité "
Oui ou non?"
Louis XIV. aurait fait touts les hommes mal
de même façon et comme ça les gens se comporteraient aussi
pendant la révolution. Les révolutionnaires accompliraient
seulement ce que l'absolutisme aurait produit comme base
spirituelle.
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Johann
Kaspar Lavater, pasteur de la cathédrale des
femmes (Fraumünster)
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Aussi en Suisse les couches sociales opprimées s'élèvent
contre l'aristocratie établée. Les nouveaux-riches de
l'industrie textile réclament des lois politiques, une
constitution avec des droits pour les habitants du paysage,
la liberté de commerce, la liberté de métier, des écoles
supérieures aussi pour les enfants du paysage, une formation
d'officiers aussi pour les enfants du paysage, une fiscalité
juste avec des impôts aussi pour les commerçants, les
indistruelles et les citoyens de la ville et avec un
allègement des paysans et avec la demande que les
communautés petites vont récupérer les droits que les villes
avaient volés d'eux. Comme les villes réagissent avec des
arrestations et des bannissements Pestalozzi devient un
avocat du peuple et compose trois écrits. Le 5 juillet 1795
Zurich occupe d'un jour à l'autre la ville
Stäfa. La médiation de
Pestalozzi en coopération avec son ami de jeunesse et
pasteur à la cathédrale des femmes
Johann Kaspar Lavater
peut empêcher des jugements de mort.
Dès 1793
Napoléon commence
avec
une réforme de structure guerrier en tout l'Europe avec des
campagnes en
Italie,
1794 en
Suisse.
Pestalozzi calcule que la France fait de la pression et la
Suisse va réaliser le changement structurel soi-même. Mais
Pestalozzi n'a pas calculé avec la faim d'argent de l'état
de la
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Napoléon laisse
piller et violer...
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France.
En février 1798
en Suisse on concède à toute la population du paysage
l'égalité avec la promesse d'une liberté, égalité et
fraternité selon la constitution, et malgré tout les
français entrent en Suisse au commencement du
mars 1798 avec 15.000
soldats rompant la dernière résistance. Ils occupent le
pays, ils pillent la caisse d'état transportant l'or dans
des tonneaux sur des chars à boeuf lourds à Paris, ils
démolissent le pays et violent les femmes et les
filles. Le pasteur zurichois
Lavater conjure la résistance dans une
proclamation.
La France établie en Suisse un état unitaire ("
République Helvétique")
avec une partition en cantons nouveaux arbitraire et sans
législative: Les cantons ont seulement encore la fonction
exécutive du grand conseil (législative) et du directoire
(exécutive). Comme ça la constitution progressive ne gagne
pas de sympathie malgré de la clairvoyance des hommes
importantes du directoire. Pestalozzi en même temps voit
qu'on va accomplir ses demandes sociales et politiques qu'il
avait faits pendant 30 années. Ainsi il résolue à servir à
l'état, et
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Philipp
Albrecht Stapfer (1766 -1840)
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l'occasion est favorable parce que l'un des cinq directeurs
du directoire est
Philipp
Albrecht Stapfer. Pestalozzi reprend la
rédaction du "
Journal
populaire helvétique" (orig.: "Helvetisches
Volksblatt") qui est le vrai porte-voix du gouvernement
helvétique. Dans cette fonction comme rédacteur - mais aussi
avec beaucoup des tracts Pestalozzi tentait à transmettre au
peuple le sens et les chances de la révolution. En même
temps il rappelle aussi au nouveau gouvernement à réaliser
leurs promesses.
La nouvelle constitution n'a presque pas des amis parce que
les révolutionnaires aussi attaquent fortement l'église et
le christianisme et interdisent aux pasteurs chaque travail
politique. Ils laissent même contrôler les sermons et
l'enseignement. On a des troupes étrangères dans le pays et
l'on doit prêter un serment à la nouvelle constitution par
la force des armes. Comme ça la population ne se sent pas
libre. Par conséquent le travail de Pestalozzi comme
rédacteur reste sans succès. Ses textes enseignantes et
souvent dédaigneux sont déplacés. Tout de même il reste chef
du "Journal populaire helvétique" jusqu'à la fin de 1798.
La question du champart: Abolition de l'impôt du
champart sans installation des lois d'impôts générales -
des écritures de Pestalozzi sur le champart - naufrage de
la "république helvétique"
Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard
Kuhlemann: La question du champart (orig.: Die
Zehntenfrage); http://www.heinrich-pestalozzi.info
D'une façon particulière Pestalozzi s'engage ce qui concerne
la question du "champart". La livraison de 10 % des produits
agricoles devrait financer la vie pour les pères spirituels
en service de la proclamation chrétienne. Avec le
développement de l'économie de l'argent la livraison
devient un impôt pour l'église et les cloîtres. Après la
Réformation et après l'élimination des cloîtres le
champart - qui est seulement payé des paysans - est
pris de l'état pour le financement des écoles, des hôpitaux,
des maisons des pauvres, des églises et des personnes
privées. Mais l'aristocratie reste sans impôts et les
paysans riches peuvent se racheter de l'impôt du champart,
par exemple par des salaires additionnelles dans l'industrie
du coton. Traditionnellement les paysans de la Suisse
Centrale (Uri, Schwytz, Unterwalden) se sont rachetés du
devoir du champart au plus tard.
Á l'occasion de l'invasion les français promettent en mars
1798 l'abolition de l'impôt du champart. Puis les français
agissent trop vite. On abolie toutes les impôts féodales
déjà en mai 1798 sans avoir établi un système fiscale
commun. Comme ça l'état reste sans recettes. En même temps
la population discute si le champart est une livraison
publique ou une dette privée. Dans le deuxième cas on aurait
la nécessité de se racheter au sens de rembourser une dette.
Á ce thème du champart Pestalozzi publie le prétendu "
Premier tract sur le champart"
(orig.: Erstes Zehntenblatt: Über den Zehnten"), un tract en
forme d'une dispute entre des paysans. Là-dedans Pestalozzi
montre d'une part que le champart est injuste, que le
champart ralentit le "progrès" agricole, et qu'il faudrait
un impôt général sur les fortunes. Ainsi il développe
le plan à privatiser les territoires communales qui souvent
sont en jachère pour les utiliser intensivement et pour
donner les profits aux possesseurs comme compensation pour
le champart. Ainsi serait fait une situation sans perdants
avec un équilibre des impôts pour tout l'organisme social.
Mais le tract est difficile à lire et malentendu. On lui
injure comme supporteur de la "bande du champart".
Pestalozzi publie un "Second tract sur le champart": "Traité
sur la nature des champarts helvétiques et les frais
territoires et l'incompatibilité avec les mesures de la
révolution qu'on a fait à cause du champart" (orig.: "
Abhandlung über die Natur der
helvetischen Zehnten und Bodenzinse und die Unpassendheit
aller ihrethalben in der Revolutionszeit genommenen
Massregeln"). Il montre clairement le développement
du champart depuis le Moyen Age et prouve clairement comment
la livraison de la loi privée originalement devenait un
impôt publique injuste et comment les paysans qui se
rachètent de l'impôt de champart ruinent les autres. Mais en
même temps il voit comment la situation de la nouvelle
République Helvétique s'aggrave de plus en plus
catastrophiquement et pour sauver le nouvel état toutes les
autres buts devraient être subordonnés. Le bien de la
chose entière et sa priorité. C'est pourquoi il réclame aux
paysans à la fin du tract à payer le champart jusqu'à ce
qu'on aurait établi les nouvelles lois qui règlent les
recettes de l'état. Mais personne écoute Pestalozzi, et donc
la "République Helvétique" va bientôt naufrager...
Stans et la lettre de Stans: 1798-1799 - la fin
politique d'un orphelinat dans un couvent de femmes - le
concept d'éducation intégrant dans la lettre de Stans
Résumé de:
Arthur Brühlmeier, Gerhard Kuhlemann: Stans et la
lettre de Stans (orig.: Stans und der Stanser Brief):
1798-1799; http://www.heinrich-pestalozzi.info
Pestalozzi à Stans avec des enfants. Peinture
en huile de K. Grob, 1879 (musée d'art
de Bâle).
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Pestalozzi à Stans avec
ses enfants au soleil. Peinture en huile de A.
Anker, 1870 (musée d'art de Zurich).
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L'ouverture d'une maison des pauvres dans les tensions
politiques de l'occupation française
Stans c'est
l'origine du mythe "Pestalozzi" surtout à cause de les deux
peintures en huile de
Grob
(1879) et
Anker (1870).
Pestalozzi s'établit comme père des orphelins au milieu des
enfants dans le soleil. Mais la
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Carte: La
position de Stans et les canton du canton
Nidwald.
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réalité est un peu plus complexe.
Après l'invasion française et le débâcle définitif de la
"Vieille Confédération Helvétique" Pestalozzi c'est déjà en
mai que Pestalozzi commence à faire des offerts pour la
réalisation de ses projets d'éducation du peuple. Le
directoire - l'exécutive à cinq personnes de le "République
Helvétique" - aussi accorde une somme tant grande pour un
institut. Mais il manque en emplacement convenant.
En même temps les tensions à l'intérieur de la "République
Helvétique" augmentent à cause de la structure de l'état
centralisé. Les gens de la Suisse Centrale par exemple
pensent que la croyance catholique soit menacé et la France
répond avec des expéditions punitives quoi que seulement
Nidwald reste contre la
politique centrale française à la fin. Pestalozzi accepte
l'invasion dans le "Journal Populaire Helvétique" pour
sauver l'unité de l'état. Il croit d'une naïveté que les
soldats français vont seulement patrouiller. Mais le canton
Nidwald n'est pas seulement occupé mais aussi mis à sac:
Aussi Stans est brûlé. Á cette occasion le gouvernement
prend la décision à ouvrir une maison pour les orphelins
avec le Pestalozzi réformé comme chef.
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Château entouré d'eau de Hallwil
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L'ouverture de la maison des pauvres de Pestalozzi le
14 janvier 1799 dans
l'ancien
cloître de femmes
[St. Claire] de Stans ne commence pas à des bons
conditions: La population est catholique et Pestalozzi a
propagé l'occupation. Comme soutien reste seulement le
pasteur catholique de Stans,
Businger, qui est ouvert à des innovations.
Après 6 semaines on a admis déjà 80 enfants qui sont
seulement observés de Pestalozzi et une servante. Pestalozzi
calcule que ça serait possible maintenant à réaliser touts
ses idées pédagogiques des dernières 20 années. Pendant ce
temps sa femme Anna Pestalozzi est au
château de Hallwil chez
la comtesse
Franziska
Romana. Sa vision qu'il va réaliser "une des plus
grandes idées de ce moment" est exprimé dans les lettres de
Hallwil (édition des oeuvres complètes critique, PSB 4,
p.18).
La structure de la maison de pauvreté: La moralité en
trois étapes: Sentir, agir et penser - les adversaires
provoquent bientôt la fermeture - hôpital militaire - la
"lettre de Stans" 1799
Ce qui domine c'est l'éducation morale dans une communauté
de vie et la confrontation avec les nécessités du quotidien.
La morale devrait se développer dans trois étapes avec la
satisfaction des nécessités
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Henry
Zschokke: D'origine un branden- bourgien il
provoque l'insuccès de Pestalozzi [peut-être
aussi pour des raisons politiques comme
vengeance que Pestalozzi protégeait l'invasion
française au lieu de s'orienter à la côté
allemande? On ne le sait pas].
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primaires comme première étape, avec l'enseignement des
habitudes faisant des bonnes choses comme deuxième étape et
comme troisième avec la conversation sur la morale. Sentir
(coeur), agir (main) et penser (tête) devraient devenir le
contrôle morale de l'intention. La morale ne devrait pas
être installée avec un discernement rational mais devrait
être enracinée dans la région émotionnellement. On avait
l'école entre 6 et 8 heures le matin et 4 et 8 heures le
soir, le reste était formation artisanal. Mais pour
l'organisation du lien entre la pratique et l'enseignement
spirituel ne reste presque pas de temps.
Mais la maison des pauvres a des grandes adversaires:
Henry Zschokke,
commissaire de gouvernement à
Lucerne, ne veut plus tolérer Pestalozzi qui
est critiqué de toutes côtés, et aussi le pasteur de Stans
Businger va de plus en
plus avec l'opinion de la population. Comme ça il semble
pratique que l'ancien cloître de femme de Stans pourrait
être transformé dans un hôpital militaire
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Carte:
La position du Gurnigelbad entre Berne et
Thoune.
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français. Les enfants sont distribués chez la parenté, et
seulement 22 enfants restent sous la garde de pasteur
Businger.
Pestalozzi quitte Stans le
9
juin 1799. Il est physiquement surmené et dans un
choque psychique à cause de la destruction soudaine de son
oeuvre d'éducation. Il suit un temps de quelques semaines de
repos au
Gurnigelbad au
paysage supérieure bernois chez le patron
Zehender. Là Pestalozzi
écrit un oeuvre avec ses expériences et ses pensées, la "
lettre de Stans", qui
est beaucoup cité et interprété jusqu'à aujourd'hui: "
Lettre à un ami sur mon séjour
à Stans" (orig.: "
Brief
an einen Freund über meinen Aufenthalt in Stans").
Le récepteur de la "lettre de Stans" n'est plus possible à
déterminer. Des récepteurs possibles sont le libraire
zurichois Heinrich Gessner qui était aussi le récepteur des
14 lettres "Comment Gertrude enseigne ses enfants" (orig.: "
Wie Gertrud ihre Kinder lehrt"),
ou le secrétaire du ministre helvétique Stapfer,
J. R. Fischer qui avait
arrangé le séjour au Gurnigelbad pour Pestalozzi. La
publication de la lettre va suivre seulement en 1807 avec
des annotations de
Niederer
durant le temps de Pestalozzi à
Yverdon dans le premier
volume du "
Hebdomadaire
pour enseignement du genre humain" ("
Wochenschrift für
Menschenbildung"). Dans le neuvième volume de
l'édition Cotta de 1822 la lettre est publiée sans les
annotations de Niederer. Puis on trouve la lettre de
Pestalozzi dans l'édition des oeuvres complètes critique
sous le numéro PSW 13, p.1-32.
De la "
Lettre de Stans"
on peut deviner les difficultés de Pestalozzi:
-- on devait comprendre la
situation des enfants
-- on devait prévaloir les réserves contre Pestalozzi
comme représentant de la République Helvétique et comme
réformé (Édition des oeuvres complètes critique, PSW 13,
p. 5 et p. 8-9).
-- on devait faire publique à la commune le lien entre
l'éducation publique et l'éducation privé
-- on devait réaliser les trois étapes d'une éducation
morale: "courses quotidiennes" et développement de la
confiance, actions morales, et à la fin la réflexion dans
des discours de cela
(Édition des oeuvres complètes critique, PSW 13, S.
9-10, p. 16 et p.. 19; et PSW 13, p.8)
-- réalisation du lien entre l'enseignement et le travail
industriel manuel - les enfants devraient s'aider
mutuellement - élémentarisation de l'enseignement primaire
ainsi que les mères adoptent partiellement l'éducation en
interaction (Édition des oeuvres complètes critique, PSW
13, p.26, p.29 et p.30).
[
Une grande faute de la
pédagogie Pestalozzi: Courses quotidiennes traumatiques
Pour les enfants l'obligation des "courses quotidiennes" est
absolument ennuyeux. Les enfants n'ont pas besoin des
"courses quotidiennes" pour développer de la confiance
envers des gens avec une formation pédagogique. L'obligation
des "courses quotidiennes" a un effet
contre la fantaisie quoi
que les enfants développent une
résistance intérieure contre la personne dirigeante.
Les enfants qui aiment les "courses quotidiennes" vont aussi
être attaqué des autres enfants. Une conséquence en plus
c'est que des enfants "vilains" vont être punis avec des
"courses" et comme ça les "courses" auront un
effet traumatisant].
Berthoud (Burgdorf) et Münchenbuchsee:
1799-1804/05: Succès avec enseignement pratique - la
constitution médiation sous concours de Pestalozzi à
Paris
Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard
Kuhlemann: Berthoud et Munchenbuchsee (orig.: Burgdorf
und Münchenbuchsee) 1799-1804/05;
http://www.heinrich-pestalozzi.info
La résolution à devenir professeur - enseignement
pratique célèbre à Berthoud (Burgdorf)
Pestalozzi continue à être inquiété auprès des circonstances
désolantes dans la plupart des écoles de village. Dans "
Comment Gertrude enseignes ses
enfants" il décrit les "écoles pas psychologiques"
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Carte:
Les positions de Berthoud (Burgdorf) et
Münchenbuchsee.
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comme "machines artificielles qui étouffent les enfants"
(orig.: "künstliche Erstickungsmaschinen". Dès l'age de cinq
ans
"on fait soudain disparaître
toute la nature autour de leurs yeux, on arrête la marche
charmante en forme de leur aisance et de leur liberté; on
les jette dans une chambre emmerdante comme des
moutons en forme des piles, on les enchaîne implacablement
pour des heures, des jours, des semaines, des mois et des
années à voir des lettres misérables, ternes et uniformes,
et l'on les achaîne dans une situation qu'on pourrait
devenir fou avec une marche handicapée pendant toute la
vie."
(orig.: Ab dem fünften
Altersjahr "macht man auf einmal die ganze Natur um sie
her vor ihren Augen verschwinden; stellt den reizvollen
Gang ihrer Zwanglosigkeit und ihrer Freiheit tyrannisch
still; wirft sie wie Schafe in ganze Haufen
zusammengedrängt in eine stinkende Stube; kettet sie
Stunden, Tage, Wochen, Monate und Jahre unerbittlich an
das Anschauen elender, reizloser und einförmiger
Buchstaben und an einen mit ihrem vorigen Zustand zum
rasend werden abstechenden Gang des ganzen Lebens)."
Pestalozzi compare cette procédure comme un pas "de la vie
au mort" (Édition des oeuvres complètes critique, PSW 13, S.
198-199).
[Mais avec les courses quotidiennes isolés on fait aussi
mourir la fantaisie].
Maintenant Pestalozzi veut encore devenir professeur, avec
53 ans. Autrefois c'est une profession d'un salaire bas et
une profession méprisé. Le ministre de l'éducation
helvétique
Stapfer
aurait bien donné à
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Le château de Berthoud (Burgdorf)
en 1760 environs.
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Pestalozzi un poste de chef d'une nouvelle institution de
formation des professeurs parce qu'il manquait encore d'une
formation systématique des professeurs dans le nouvel état.
Mais Pestalozzi premièrement voulait faire des expériences
avec les petits enfants. Stapfer nomme son secrétaire
Rudolf Fischer comme
directeur d'école normale d'instituteur et lui attribue le
château de Berthoud (Burgdorf) comme domaine. Fischer permet
à Pestalozzi un travail au château de
Burgdorf.
Mais les autorités sceptiques laissent travailler Pestalozzi
seulement à la prétendu "
école
Hintersass" (orig.: Hintersassenschule) pour un
certain temps. Pestalozzi révolutionne maintenant
l'enseignement de l'école: Il s'efforce à enseigner d'une
sorte naturelle et psychologique. Pendant le processus
d'apprentissage devraient être stimulés toutes les sens en
même temps, sans livres d'école. Avant d'apprendre à lire on
devrait apprendre à penser, et toutes les connaissances
devrait avoir sa base dans
l'enseignement
pratique. Après huit mois les écoliers doivent
passer un examen et les succès sont tant clairs qu'on lui
confie une classe des garçons supérieure dans la ville.
En même temps le directeur de l'école normale d'instituteur
Fischer ouvre un
séminaire, mais il tombe gravement malade et peu après il
meurt (le 4 mai 1800). Pestalozzi peut unifier sa classe de
garçon avec l'école créée de Fischer dans le château et
comme ça il pose les fondements de
l'institut d'éducation à
Berthoud (Burgdorf), une connection entre école de
garçon, institut de pension pour des écoliers extérieurs,
école normale d'instituteur et orphelinat. L'enseignement
devrait être intégré dans une communauté de vie ou les
énergies de la tête, de la main et du coeur pourraient se
développer en harmonie. Avec ses idées Pestalozzi gagne un
certain nombre d'employés, et le gouvernement helvétique
soutient le projet beaucoup.
L'école normale d'instituteur attire un grand nombre de
spectateurs. Pestalozzi travaille intensivement avec ses
employés au développement d'une nouvelle méthode
d'enseignement pour en rendre comte pédagogiquement au
public. Par conséquent Pestalozzi écrit quelques tracts
entre eux le tract de base "Comme Gertrude enseigne ses
enfants" (orig.: "
Wie
Gertrud ihre Kinder lehrt"). Maintenant Pestalozzi
devient un grand éducateur et rénovateur de l'école
populaire. Des centaines des érudits et des politiciens
arrivent de toutes les pays pour voir Pestalozzi et ses
employés au travail et regarder les succès d'enseignement.
Berthoud (Burgdorf) devient - comme plus tard Yverdon - une
étape obligatoire sur les voyages culturelles qui vont être
en vogue: en Suisse et en Italie.
Le 15 aout 1801 le seul fils de Pestalozzi
Jean Jacques meurt avec
seulement 31 ans. Sa femme change dans la maison de
Pestalozzi à Berthoud, et une année après aussi la femme de
Pestalozzi, Anna, change de même façon à Berthoud.
Guerre civile contre l'état unitaire - élaboration de
la constitution médiation à Paris avec Pestalozzi -
l'exigence de Pestalozzi pour la nouvelle forme de
gouvernement de la Suisse
Après la retraite des troupes françaises de la Suisse en
1802 se développe un second rond de la guerre civile en
faveur ou contre l'État unitaire helvétique. Par conséquent
Napoléon laisse
occuper la Suisse une seconde fois et ordonne pour l'hiver
1802/1803 une assemblé de représentants suisses à
Paris pour élaborer une
nouvelle constitution (
constitution
médiatique). Pestalozzi est envoyé à Paris aussi
bien de sa ville natale de
Zurich
que de la ville de
Berthoud,
mais après il rentre en avance sans prendre part à la fête
finale solennelle le 19 février 1803 aux tuileries. Comme ça
Pestalozzi manque la seule occasion à voir Napoléon
personnellement.
Maintenant Pestalozzi demande des nouvelles structures
d'état dans divers tracts:
-- pas de réintroduction du champart
-- pas de recensement (droit à voter selon la fortune)
-- des charges fiscales justes
-- diffusion de l'enseignement générale du peuple.
Mais dans la constitution médiatique de 1803 manque un
article d'éducation, et la confédération légère des cantons
presque indépendantes est introduit de nouveau. Par exemple
la constitution cantonale zurichoise fait la définition de
la liberté et de l'égalité, mais en même temps on a des
nouvelles restrictions par le droit de champart et le droit
du recensement. Une égalité des droits est seulement réalisé
dans les couches sociales possédantes supérieures, et les
tract de Pestalozzi n'avaient pas (encore) une force
décisive.
[Les développement napoléoniens avaient aussi la conséquence
des pertes territoires pour la Suisse]:
Carte
de la Suisse en 1789
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Carte
de la Suisse en 1806
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Le livre d'éducation de Pestalozzi: "Livre de la
mère ou instruction pour la mère à ordonner et faire
parler les enfants" (orig.: "Buch der Mütter oder
Anleitung für Mütter ihre Kinder bemerken und reden zu
lehren") 1803
Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard
Kuhlemann: Yverdon 1804-1825;
http://www.heinrich-pestalozzi.info
Cette instruction de Pestalozzi pour les mères est publié en
1803 déjà (Édition des oeuvres complètes critique, PSW 15,
p.341-424), en grande parti rédigé par son employé
Hermann Krusi. Les
thèmes les plus importantes sont la pratique des problèmes,
la connaissance de la situation et la conclusion des hommes
mêmes. Le livre contient des exercices concernant la
pratique et nommer le propre corps et les activités qui sont
possible. Mais pour Pestalozzi cet oeuvre est seulement un
essai, un premier commencement.
Pestalozzi sans état unitaire - Berne laisse évacuer le
château de Burgdorf - Münchenbuchsee - coopération avec
Fellenberg naufrage - château de Yverdon pour Pestalozzi à
vie
Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard
Kuhlemann: Berthoud et Munchenbuchsee (orig.: Burgdorf
und Münchenbuchsee) 1799-1804/05;
http://www.heinrich-pestalozzi.info
Pour Pestalozzi la nouvelle constitution médiatique a des
conséquences graves parce que le soutien du gouvernement
centrale est perdu. Le gouvernement de Berne demande aussi
la clôture de l'institut jusqu'au 1er juillet 1804 pour
installer une nouvelle résidence au secrétaire supérieure de
Berne (orig.: "Oberamtmann"). Premièrement l'institut de
Pestalozzi change au cloître à
Münchenbuchsee, avec une terre exemplaire et
une maison d'éducation à
Hofwil
comme voisin sous la direction de
Philipp Emanuel de Fellenberg.
Fellenberg impressionne les gens avec son économie. La
collaboration avec Pestalozzi faillite en 1804 justement à
cause de l'économie à vues bornées: Fellenberg n'accepte pas
que Pestalozzi accepte des enfants des pauvres circonstances
dans sa maison gratuit.
Maintenant il semble que Pestalozzi ait enfin de la chance:
Après le départ des prévôts de Berne le canton de
Vaud - nouvellement
formé et avant territoire d'occupation bernois - met à
disposition le château à
Yverdon,
: Pestalozzi peut installer son institut d'éducation à vie
et gratuit.
Carte du canton de Vaud avec la position de
Yverdon
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Le château de Yverdon (dt. Iferten)
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[L'architecture du château avec les tours rondes aux coins
est une copie de l'architecture arabe palestinienne, copié
pendant les croisades].
Yverdon: 1804-1825: Institut Pestalozzi
fleurissant - pertes par une imprimerie - dispute des
professeurs - profit par publications - Clendy
Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard
Kuhlemann: Yverdon 1804-1825;
http://www.heinrich-pestalozzi.info
En commun avec trois professeurs Pestalozzi établit son
nouvel institut dès l'août 1804 dans le château d'Yverdon
(Iferten). En même temps à Münchenbuchsee Fellenberg joue le
roi avec des décisions autocratiques et devient impopulaire
chez les gens de Pestalozzi et chez les enfants ainsi qu'ils
changent aussi à Yverdon en 1805. L'institution Pestalozzi a
son influence maintenant comme un impulse pédagogique
surtout en Allemagne, là surtout en Prussie, mais aussi en
France, en Éspagne, en Italie, en Angleterre, en Russie et
en "Amérique". Pestalozzi installe une commission dirigeante
avec Pestalozzi et quatre autres collaborateurs. Chaque
matière a son propre chef élu de la commission.
L'institut de Pestalozzis fait des pertes surtout à
cause de l'imprimerie
L'institut fleurisse, et jusqu'à 1809 on a 165 garçons, 31
professeurs et sous-professeurs, 32 séminaristes et 10
membres de la famille de Pestalozzi avec des bonnes, tout
ensemble presque 250 personnes. Selon le principe de la
ségrégation sexiste on a installé un institut des filles
juste à côté du château. Mais se qui concerne le calcul
capitaliste Pestalozzi reste pas capable: L'institut
travaille sans budget et sans comptabilité. Pestalozzi
demande trop peu pour l'enseignement et presque un tiers des
écoliers peuvent assister gratuit. Les professeurs
travaillent seulement pour le gîte et le couvert, et
l'imprimerie affiliée produit des grandes pertes.
En même temps Pestalozzi éprouve à réactiver la maison des
pauvres au Neuhof, mais le gouvernement de 1807 ne lui donne
pas de soutien.
[Quand Pestalozzi aurait passé un diplôme de comptabilité
cela aurait peut-être été autrement...]
L'organisation de l'enseignement: 60 heures école par
semaine - expériences
On a surtout de travail en groupe et l'enseignement en
groupes. Les écoliers enseignent ses camarades. L'horaire
comprend plus ou moins le triple d'un horaire d'aujourd'hui
en Allemagne ou en Suisse, ca. 60 heures pleines par
semaine. On a des matières comme mathématique (arithmétique
et algèbre), morphologie, dessiner, géographie, histoire,
langue allemande et française, religion, nature (chimie,
physique, zoologie, botanique), latin, gymnastique, chant,
comptabilité et écrire des lettres. L'horaire n'est pas
toujours le même parce que Pestalozzi comprend son institut
comme une école expérimentale. Pendant des certains temps
les enfants ont une ou quelques heures par jour pour
apprendre individuellement.
Les conditions chez les enfants sont très divers entre
extrêmement doué, normalement doué, moins doué, comportement
dérangé et difficile à enseigner. L'age est au moins 7 ans.
Les écoliers de plus de 11 ans sont admis seulement
exceptionnellement. Avec 15 ans on est dégagé ou on
travaille comme séminariste.
L'enseignement prend place souvent en pleine air pour des
observations, des descriptions et à copier des plantes, des
formes de paysage, des animaux ou des roches. Dans le
travail artisanal on apprend à travailler avec la scie, le
marteau, le rabot et le tour, systématiquement. Les écoliers
aident faire le ménage, dans l'imprimerie et dans l'atelier
de relieur de l'institut, travaillent partiellement dans les
ateliers du menuisier, du mécanicien, de l'horloger et du
tourneur à Yverdon, et ils ont des animaux (des lapins) et
ils cultivent leur propres planches.
Collaboration avec les parents - des randonnées pendant
des semaines - sport et jeu
Pestalozzi installe une collaboration intensive avec les
parents et les même demande à donner des critiques. Chaque
jour les visiteurs peuvent voir les salles de classe. Les
professeurs responsables de classe sont obligés à donner une
orientation auprès des progrès des enfants aux parents. Des
notes ou des bulletins n'existent pas. Pestalozzi ne veut
pas comparer les enfants l'un avec l'autre mais stimuler les
forces et les dispositifs dans l'enfant sans mesurage de
performance.
Les vacances on fait comme randonnée pendant des semaines,
dans les Alpes et en étranger avoisiné, avec des
préparations par la lecture des descriptions de lieu,
description du voyage, études des cartes, puis pendant les
randonnées avec pratique directe comme part de la science de
la nature et de la géographie.
Dans l'institut on a toujours de sport et des jeux, avec
nager dans le lac, en hiver avec la construction des château
de neige et patinage.
Le principe de la grande famille - Pestalozzi reste
sans qualités de chef - dispute des professeurs entre eux
On vie ensemble comme dans une grande famille. Les
professeurs supérieurs et sou-professeurs (séminaristes
entre 16 et 20 ans) ont des grandes libertés comme aussi les
écoliers, sans instructions fixes et interdictions. Les
décisions sont individuelles dans chaque cas. En été les
garçons sont pieds nus et sans chapeau (comme il est
l'obligation ailleurs). Le mouvement naturel ne devrait pas
être gêné. L'ambition, l'humiliation, la colère, la méfiance
et punition de corps ne sont pas de coutume. Les professeurs
n'ont leur autorité que par l'autorité, le charisme et la
force de persuasion. Ils vient, mangent et dorment dans les
mêmes pièces comme les garçons.
Pestalozzi se voit même comme un père et comme donneur
d'impulsion spirituel. Il laisse se nommer aussi "père
Pestalozzi". Il est écrit et surveille le travail des
professeurs. Il laisse faire des rapports sur les écoliers,
il accueille les visiteurs et il compose les mots
d'avertissement journaliers pour la grande famille, et il
tient des discours aux fêtes etc. Mais Pestalozzi ne peut
pas se libérer de ses propres contradictions. Sa faiblesse
de ne pas être une personnalité dirigeante continue. Comme
ça pendant plus que 15 des 20 années à Yverdon (Iferten) on
trouve une atmosphère empoisonnée. Partiellement les
disputes provoquent des publications ou même des démarches
juridiques. La réputation de l'institut et la ruine ne sont
pas loin.
Une des raisons est sûrement la faiblesse dirigeante de
Pestalozzi: pas de qualités d'organisation et de direction.
Ainsi c'est par exemple
Karl
Justus Blochmann, professeur 1809-1816 à Yverdon,
qui écrit:
"Tant souvent quand je vois
l'inoubliable [Pestalozzi] quand j'étais encore proche de
lui, il me semblait comme un grand enfant avec toute sa
splendeur de la nature enfantine, mais aussi avec les
faiblesses et l'imperfection. La pureté et
l'innocence, la croyance et l'amour, la clémence et le
dévouement de l'enfant ont orné et ont anobli son âme
jusqu'à la vieillesse, mais la tranquillité et la
réflexion, la circonspection et la prudence, la domination
claire sur les circonstances et les personnes qui ornent
l'homme, ils lui manquaient totalement [...] En dépit de
ses grandes idéales comprenant tout le monde il n'avait
pas la capacité et le savoir-faire à gouverner même la
plus petite école de village."
(orig.: "So oft, wenn ich
den Unvergesslichen [Pestalozzi] anschaute, als ich ihm
noch nahe stand, erschien er mir wie ein gross gewordenes
Kind mit aller Herrlichkeit der kindlichen Natur, aber
auch mit den Schwächen und Unvollkommenheiten derselben.
Die Reinheit und Unschuld, der Glaube und die Liebe, die
Milde und Hingebung des Kindes schmückten und adelten
seine Seele bis ins Greisenalter, aber die Ruhe und
Besonnenheit, die Umsicht und Vorsicht, die klare
Herrschaft über Zustände und Personen, die den Mann
zieren, mangelten ihm in hohem Grade. [...] Er besass
trotz seiner grossen, die ganze Menschheit umfassenden
Ideale nicht Fähigkeit und Geschick, auch nur die kleinste
Dorfschule zu regieren.")
Exemple d'une dispute: Niederer falsifie le discours de
Lenzbourg de Pestalozzi en 1809
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Johannes Niederer (1779-1843)
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En 1809 on fonde la "Société des amis d'éducation de la
Suisse". Pestalozzi est élu comme président. Pendant
l'inauguration le 30 aout 1809 Pestalozzi fait un
discours, ainsi nommé le discours de Lenzbourg "
Sur l'idée de la formation
élémentaire" (orig.: "Über die Idee der
Elementarbildung", édition des oeuvres complètes critique
PSW 22, S. 1-324). Le collaborateur Johannes Niederer
complète le discours par beaucoup raisonnements de sa part
et comme ça il commande le discours. Mais maintenant la
diction de Pestalozzi avec beaucoup des images et
passionnante est toujours interrompue avec un langage
philosophique d'un effet présomptueux qui trahit les travaux
de Niederer à assimiler les pensées de pratique de
Pestalozzi avec le système des idées de
Schelling.
La dispute concernant la succession de Pestalozzi en
1810: Les professeurs Schmid et Niederer - les réformes de
Schmid on l'effet de l'hostilité des professeurs - départ
de 16 professeurs, départ de Niederer - combat de Niederer
contre Schmid - Schmid va à Paris
Les professeurs et autres disputent qui va succéder
Pestalozzi après sa retraite, surtout Joseph Schmid
(1785-1851) et Johannes Niederer (1779-1843):
-- Joseph Schmid, fils
d'un paysan de Vorarlberg (Autriche), écolier de
Pestalozzi, puis un grand professeur de mathématique, un
solitaire, tend à l'esprit autoritaire, sans égards, pas
aimé chez les autres, mais avec un sens pour justice et
avec une vue claire pour la réalité, avec la demande à la
méticulosité.
-- Johannes Niederer,
d'un esprit autoritaire, avec une formation supérieure de
théologie et puis employé chez Pestalozzi, avec des
activités dans la discussion philosophique contemporaine,
avec l'ambition à coordonner l'éducation de Pestalozzi
avec la philosophie idéaliste, à Yverdon il est locuteur,
philosophe de l'institut et le chef des affaires à
l'extérieur, il ouvre une imprimerie de l'institut, il
lutte littérairement avec des adversaires de Pestalozzi,
et il n'a guerre du temps pour l'enseignement même,
partiellement il forme les livres de Pestalozzi
décisivement et à cause de cela il se sent supérieur aux
autres professeurs.
En 1810 après une grande dispute dans l'assemblé des
professeurs Schmid quitte l'institut de Pestalozzi avec
quatre autres professeurs pour réorganiser le système
scolaire en Autriche. Mais l'idéologue Niederer n'est pas
capable à guider l'institut Pestalozzi et à l'occasion du
mariage entre Niederer et la dirigeante de la maison des
filles en 1814 il laisse rentrer Schmid. À l'occasion du
mariage Pestalozzi donne à Niederer l'institut des filles
comme présent, il semble avec la supposition que Niederer
devrait aussi travailler seul pour son salaire. Dès 1815
Schmid se retrouve à Yverdon fixe et tout de suite commence
à réformer: Arrêt de la guerre littéraire, fermeture de
l'imprimerie de la maison, comptabilité serrée, congédier
presque la moitié des professeurs, un horaire plus grand
pour les professeurs qui restent. Ces réformes sont un peu
trop d'un coup avec l'effet d'une hostilité de presque touts
les professeurs.
Après le
mort de la femme
de Pestalozzi Anna la dispute entre les professeurs
se développe rapidement, et Pestalozzi même reste seulement
le désespoir. Des conjurations à servir à une bonne chose
ont aucun résultat. En 1816 ce sont 16 professeurs qui
quittent l'institut.
Niederer
forme son départ en 1817 comme pasteur dans l'église
du château sur la chaire, interrompt son sermon, commence
avec ses reproches et se distance en publique. Mais le
départ de Niederer n'est jamais fini. Il lutte contre
Pestalozzi avec les demandes financières à cause de
l'institut des filles "donné", avec l'arrière-pensée contre
le réformateur Schmid. Malgré des appels à la paix de
Pestalozzi il provoque un procès au tribunal. Comme le
tribunal favorise Pestalozzi à la fin Niederer n'arrête pas
jusqu'à ce que
Schmid est
expulsé du
canton de Vaud
et puis aussi du
Neuhof officiellement.
Après cela [après le mort de Pestalozzi] Schmid commence à
réaliser un institut de Pestalozzi à
Paris.
Contrat avec la maison d'édition Cotta 1817 - projet de
la réouverture du Neuhof en 1818
Pendant la même année 1817 Pestalozzi peut faire un contrat
avec la maison d'édition Cotta concernant la publication de
touts ses oeuvres. Enfin Pestalozzi pourrait avoir
disponible des sommes d'argent plus grandes de son propre
travail. Dans son discours à l'occasion de son 72me
anniversaire il annonce la réouverture de la maison des
pauvres au Neuhof à Birr et promet à user les 50'000 Francs
pour le développement de sa méthode d'enseignement et
d'éducation, pour la formation des professeurs, pour établir
des écoles de modèle, et pour le travail permanent de son "
livre pour la mère dans le
salon"
x
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Yverdon-Clendy: Centre des pauvres Pestalozzi
aujourd'hui
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(orig.: "Mutter- oder Wohnstubenbuch". Mais Pestalozzi n'est
pas un bon calculateur. Il distribue l'argent déjà à
l'avance.
Le collaborateur Joseph Schmid est contre le Neuhof. Au lieu
du Neuhof on ouvre une maison des pauvres à Clendy près
d'Yverdon [aujourd'hui un quartier d'Yverdon], en connection
d'une école d'industrie et d'une école normale
d'instituteurs.
Après une année seulement [en 1819?] on unifie les deux
instituts de Yverdon. L'argent déjà distribué n'arrive pas
tant vite. Seulement en 1821 Pestalozzi reçoit les premiers
10'000 Francs. En 1824 Pestalozzi doit déclarer sa fondation
officiellement naufragée et annulée (Édition des oeuvres
complètes critique, PSW 27, S.111), et en 1825 l'institut
Pestalozzi est annulé complètement inclusivement la maison
des pauvres à Clendy.
Les chef-d'oeuvres de Pestalozzi pendant le temps
à Yverdon 1804-1825
Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard
Kuhlemann: Yverdon 1804-1825;
http://www.heinrich-pestalozzi.info
Malgré les disputes presque sans cesse on trouve un grand
nombre d'oeuvres de Pestalozzi pendant ce temps à Yverdon,
par exemple "
Avis et
expériences" (orig.: "Ansichten und Erfahrungen" et
"
À l'innocence"
(orig.: "An die Unschuld"). On trouve surtout encore la
troisième version de l'oeuvre "Lienhard et Gertrude"
(orig.: "
Lienhard und
Gertrud"), le tract "
Esprit et coeur dans la méthode" (orig.:
"Geist und Herz in der Methode", 1805) et "
Sur l'idée de la formation
élémentaire" (orig.: "Über die Idee der
Elementarbildung", discours de Lenzbourg). Entre les
beaucoup discours faits à Yverdon c'est surtout le discours
d'anniversaire de 1818 qui est importante.
Pestalozzi: "Esprit et coeur dans la méthode" (orig.:
"Geist und Herz in der Methode") 1805
Dans "Esprit et coeur dans la méthode" (édition des oeuvres
complètes critique, PSW 18, p.1-52) Pestalozzi s'adresse
contre le jugement simple de son institut seulement à la
base des succès d'enseignement. Les choses pas directement
mesurables seraient plus importantes: Gaieté, fidélité
enfantine et conscience au professeur, formation à
l'obéissance et à la réflexion. Il stresse que la formation
n'est pas une plantation des connaissances de l'extérieure
mais a sa base dans la stimulation intérieure des talents.
Mais il juge les forces de la tête et du coeur pas
équivalents parce que la formation intellectuelle pour
soi-même n'est pas convenable à provoquer les forces
intérieures qui mènent l'homme au sentiment de sa dignité
interne et qui mène à la découverte de son être divin qui
est dans sa nature interne. Selon Pestalozzi ils ne se
développent pas par la force de l'intellect en pensant mais
par la force du coeur en aimant. Pestalozzi voit l'avantage
de sa méthode d'éducation justement là-dedans que penser et
aimer sont lié, nommé comme "
Méthode", plus tard comme "
Idées de la formation
élémentaire":
"Elle [la méthode] apprend
l'enfant à aimer dans toutes les pensées et penser dans
l'amour entière."
(orig.: "Sie lehrt das Kind in allem Denken lieben und in
aller Liebe denken." Édition des oeuvres complètes
critique, PSW 18, S. 37).
[Les modèles pour les enfants, les professeurs disputants,
sont justement le contraire...]
Pestalozzi: "Avis et expériences" (orig.: "Ansichten
und Erfahrungen") 1806
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Masque de
Pestalozzi en terracotta 1809; masque du corps
vivante en 1809 de J.M. Christen de la part du
prince héritier Louis de Bavière, selon des
trouvailles du squelette en 1984 authentique.
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À Yverdon Pestalozzi travaillait aux livres divers en même
temps. Beaucoup des oeuvres étaient retouchés, copiés des
collaborateurs et retouchés, unifiés avec des autres tracts,
préparés pour des éditions partielles ou complètes et pois
pas publiés ou seulement partiellement publiés. Ce sort à
subi spécialement le livre "Avis, expériences et moyens pour
la promotion d'une sorte d'éducation appropriée à la nature
humaine", bref "Avis et expériences" (orig.: "
Ansichten, Erfahrungen und
Mittel zur Beförderung einer der Menschennatur
angemessenen Erziehungsweise" (bref: "
Ansichten und Erfahrungen")
de 1806. Pendant la vie de Pestalozzi on réalisait seulement
des publication partielles. La base de l'oeuvre se constitue
de 20 manuscrits, et la publication complète est comme ça
aussi un oeuvre de
Émanuel
Dejungs, l'éditeur pendant des années de l'édition
complète critique.
L'oeuvre commence - comme dans beaucoup de ses oeuvres -
avec une rétrospective, avec une description de la carrière
pédagogique, avec une présentation du développement et des
idées fondamentales de sa méthode d'une éducation naturelle,
avec l'éducation à la maison comme base morale et
religieuse. Comme ça il formule les demandes à une
expérience d'éducation et nomme les critères de jugement. La
modification de la méthode selon les circonstances sociales
est essentielle. L'établissement de la nouvelle éducation
devrait être réalisée avec un renouvellement de
l'instruction publique et avec des écoles expérimentaires.
En même temps l'influence des personnes spéciales comme chef
de l'école et comme des politiciens importantes doit être
reconnue.
Pestalozzi: Discours pour le 72me anniversaire en 1818
avec des lignes de démarcation d'éducation
Le discours de Pestalozzi à l'occasion de son 72me
anniversaire le 12 janvier 1818 (édition des oeuvres
complètes critique PSW 25, p.261-364) est un des oeuvres les
plus importantes. La première édition a 173 pages. Elle a
été publié sans collaboration de Niederer est comme ça elle
est particulièrement intéressante. Là-dedans on trouve
Pestalozzi avec son caractère passionné traditionnel,
originalité et indépendance philosophique. Pour expliquer
les règles et les connections pédagogiques il choisit
souvent des images de la vie organique.
La chose la plus impressionnante est la comparaison du
développement de l'homme et d'un arbre au commencement du
discours:
"L'image de
l'éducation, l'être intérieure sainte d'une meilleure
éducation, je le voit devant mes yeux dans un image d'un
arbre planté à un ruisseau. C'est quoi un arbre? Il vient
d'où? avec ses racines, son tronc, ses branches, ses
rameaux, ses fruits? Voilà, tu met un petit noyau dans la
terre. Dans le noyau se trouve l'esprit de l'arbre. Dans
le noyau se trouve le naturel de l'arbre. Lui il est la
graine de l'arbre." (Édition des oeuvres complètes
critique, PSW 25, p.265).
(orig.: "Das Bild der Erziehung, das innere, heilige Wesen
einer besseren Erziehung steht im Bild eines Baums, der an
den Wasserbächen gepflanzt ist, vor meinen Augen. Siehe,
was ist er? Woraus entspringt er? Woher kommt er mit
seinen Wurzeln, mit seinem Stamm, mit seinen Ästen, mit
seinen Zweigen, mit seinen Früchten? Siehe, du legst einen
kleinen Kern in die Erde. In ihm ist des Baumes Geist. In
ihm ist des Baumes Wesen. Er ist des Baumes Samen."
(Édition des oeuvres complètes critique, PSW 25, p. 265).
Pestalozzi compare la graine concentré et son développement
dans un arbre avec l'esprit de l'homme dans le bébé qui se
développe jusqu'au esprit d'une existence humaine complète,
veut dire à une vie de la base de la croyance et de l'amour.
Pour le développement de l'arbre et pour le développement de
l'homme c'est l'entourage qui est important. En même temps
l'organisme humain soit animal mais pas encore un animal,
"il est l'organisme d'une enveloppe sensuelle avec un être
divin là-dedans qui a là sa base et vie là" (orig.: "er ist
der Organismus einer sinnlichen Hülle, in der ein göttliches
Wesen ruht und lebt", édition des oeuvres complètes
critique, PSW 25, S. 268)
Pendant le développement les gens peuvent décider quelles
influences et quelle "terre" on veut avoir. Sur le
thème de l'arbre et du développement Pestalozzi a aussi fait
un de ses rares poèmes:
|
Jung geschützt,
jung gestützt,
wachst er grad
vom Boden auf
dem Himel an.
Jung gedrückt,
jung gebükt,
wachst er krum
vom Himel ab
zum Boden hin.
|
Jung gezogen,
alt verbogen,
ist so wahr
als jung gebogen,
wohl gezogen.
Jung verzogen,
alt verkrüppelt,
ist mehr wahr
als jung gebogen,
wohl gezogen. |
Jung geschützt,
jung gestützt,
wachst er grad
vom Boden auf
zum Himel an. |
Jung gedrükt,
jung gebükt,
wachst er krum
vom Himel ab
zum Boden hin. |
Manuscrit du poème de Pestalozzi
"L'arbre" (orig.: Der Baum): PSW
23,
p. 327-329 |
Français:
|
Protégé jeune,
appuyé jeune,
il grandit droit
du sol vers le ciel.
Pressé jeune,
courbé jeune,
il grandit tordu
pas vers le ciel
mais vers le sol.
|
Gardé jeune,
tordu comme vieux,
c'est vrai
comme tordu jeune,
bien gardé.
Gondolé jeune,
estropié vieux
c'est plus vraie
que courbé jeune,
bien gardé.
|
Protégé jeune
appuyé jeune
il grandit droit
du sol vers le ciel.
|
Pressé jeune,
courbé jeune,
il grandit tordu
pas vers le ciel
mais vers le sol. |
Dans des autres parts de son discours
Pestalozzi touche les améliorations de l'éducation
dans les familles divers avec l'aide d'un livre
d'éducation comme livre populaire. Les éléments de
vie élémentaires devraient être appris aux
parents.
Pour Pestalozzi un livre comme ça est tellement
important qu'il dépense même un part de la
fondation pour l'élaboration de ce projet. Comme
préparations pour un tel oeuvre peuvent être
estimées les 34 "lettres à Greaves sur le
développement de la vie spirituelle de l'enfant"
(orig.: "Briefe
an Greaves über die Entwicklung des kindlichen
Geisteslebens" en 1818/1819. Ils ne sont
pas conservés en original mais seulement dans une
traduction en anglais.
Plus tard Emanuel
Dejungs devient l'éditeur de l'édition
des oeuvres complètes critique pour des années. |
|
Pestalozzi 1818: Lithographie selon
G.A. Hippius
|
Dernières années au Neuhof: 1825-1827:
Autobiographie, théorie d'éducation - livre diffamant de
Niederer
Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard
Kuhlemann: Dernières années au Neuhof (orig.: Letzte
Lebensjahre auf dem Neuhof) 1825-1827;
http://www.heinrich-pestalozzi.info
Après l'expulsion de Schmid du canton de Vaud Pestalozzi
quitte le canton avec lui es ses derniers élèvent l'institut
pour retourner au Neuhof en mars 1825. Pestalozzi n'avait
pas encore perdu son rêve à réanimer l'ancienne maison des
pauvres. En collaboration de son petit-fils Pestalozzi
construit un "nouvel" Neuhof, encore plus seigneurial
qu'avant.
Avec presque 80 années
Pestalozzi commence a construire des maisons de sa propre
main.
(de: Arthur Brühlmeier, Gerhard Kuhlemann:
Années au Neuhof (orig.: Neuhofjahre): 1769-1798;
http://www.heinrich-pestalozzi.info)
Pestalozzi: "Chant du cygne" (orig.: "Schwanengesang")
1826: Autobiographie et théorie d'éducation
Au Neuhof Pestalozzi écrit son dernier grand oeuvre, le
"Chant du cygne". En gros le livre constitue de deux parts:
une autobiographie et une présentation complète de sa
méthode d'éducation. Mais la maison d'édition Cotta ne veut
pas publier les disputes de Yverdon. Ainsi les disputes
d'Yverdon sont publiés chez Fleischer à Leipzig en 1826 sous
le titre: "Mes sorts de la vie comme chef de mon institut
d'éducation à Berthoud (Burgdorf) et Iferten (Yverdon)",
(orig.: "
Meine
Lebensschicksale als Vorsteher meiner Erziehungsinstitute
in Burgdorf und Iferten", édition des oeuvres
complètes critique, PSW 27, p. 215-344).
Là-dedans il compare la réalité à Yverdon avec ses idées, et
il fait la conclusion que Yverdon n'était pas cela ce qu'il
voulait réaliser. Au commencement il se critique soi-même,
mais c'est évident qu'il juge et condamne aussi le travail
de ses nombreux collaborateurs comme ça. Le travail de
Schmid est considéré meilleur que le travail de Niederer. À
la fin Pestalozzi publie la lettre pour Niederer que
Pestalozzi avait livré personnellement à Niederer le 1ter
février, comme preuve de son veux de réconciliation. La
dernière phrase reste comme ça:
"Je suis et je reste
aujourd'hui encore du même sentiment que j'étais quant
j'ai écrit cette lettre."
(orig.: "Ich bin und bleibe
heute noch in der nämlichen Gesinnung, in der ich war, als
ich diesen Brief schrieb." Édition des oeuvres complètes
critique, PSW 27, p. 344).
L'achèvement du nouveau bâtiment au Neuhof Pestalozzi ne le
peut plus voir.
Pestalozzi meurt au milieu
des pauvres enfants d'une nostalgie à être un bon père.
(de: Arthur Brühlmeier, Gerhard Kuhlemann:
Années au Neuhof (orig.: Neuhofjahre): 1769-1798;
http://www.heinrich-pestalozzi.info)
Niederer lui-même reste sans inconciliable et laisse publier
un écrit calomnieux chez le collaborateur Éduard Biber
(1801-1874), 25 ans: "Contributions pour la biographie de
Henry Pestalozzi et pour la contemplation de ses écrits les
plus nouvelles: 'Mes sorts de la vie etc.' contemplé selon
ses propres lettres et écrits, et prouvés avec d'autres
documents" (orig.: "
Beiträge
zur Biographie Heinrich Pestalozzis und zur Betrachtung
seiner neuesten Schrift: 'Meine Lebensschicksale u.s.f.'
nach dessen eigenen Briefen und Schriften betrachtet, und
mit anderen Urkunden belegt" (St. Galle, janvier
1827).
Pestalozzi n'a plus la force à répondre publiquement et à la
fin - dans ses conditions de fièvre - il ne voit plus que sa
plume n'a plus d'encre. Pestalozzi meurt trois semaines
après la lecture calomnieuse le 17 février 1827 à
Brougg (Brugg) et il
est enterré le 19 février à
Birr au mur latéral de la vieille école.
Les évènements concernant la tombe de Pestalozzi
Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard
Kuhlemann: Les dernières années au Neuhof (orig.: Letzte
Lebensjahre auf dem Neuhof) 1825-1827;
http://www.heinrich-pestalozzi.info
Un monument funéraire en 1846
En 1846 le canton d'Argovie construit le monument funéraire
avec l'épitaphe de
Augustin
Keller qui existe encore aujourd'hui:
Sauveurs des
pauvres au Neuhof,
Prêcheur du peuple dans Lienhard et Gertrude,
À Stans père des orphelins,
À Berthoud et Münchenbuchsee
Fondateur d'une nouvelle école populaire,
À Yverdon éducateur de l'humanité,
Homme, chrétien, citoyen,
Tout pour les autres, rien pour soi-même.
Bénédiction à son nom!
|
(orig.: Retter der
Armen im Neuhof,
Prediger des Volkes in Lienhard und Gertrud,
Zu Stans Vater der Waisen,
Zu Burgdorf und Münchenbuchsee
Gründer der neuen Volksschule,
Zu Iferten Erzieher der Menschheit,
Mensch, Christ, Bürger,
Alles für Andere, für sich Nichts.
Segen seinem Namen!) |
Trouvaille des ossements en 1984 et investigation
médicinale: Les maladies de Pestalozzi
En 1984 pendant des travaux au monument funéraire on trouve
par hasard le caveau dans laquelle étaient changé les
dépouilles mortelles en 1846, et l'on trouve le squelette
complet. Les analyses anthropologues et pathologiques
donnent quelques résultats importants:
-- dans sa jeunesse
Pestalozzi avait probablement presque 170 cm, pendant son
mort encore ca. 165 cm
-- la masque vivante fameuse de Pestalozzi de 1809 est
originale, les nombreux portraits ont beaucoup de formes
libres artistiques. Le dessin de Hippius ressemble aux
proportions le meilleur
-- pendant ses dernières années Pestalozzis n'avait plus
de dents et il avait des changement d'arthrose, surtout
concernant les articulations dernières de sa main droite,
mais aussi concernant la région de la vertèbre cervicale,
pas anormal pour un homme de son age qui avait écrit
beaucoup dans toute sa vie
-- on trouvait une fracture de son articulation de la main
gauche qui n'était pas soignée, et l'on trouvait
l'opération d'un percement au foret du crâne derrière
l'oreille droite (trépanation) - qui est décrit dans les
oeuvres de Pestalozzi - pour l'écoulement du pus d'une
otite
-- les changements visibles de son écriture pendant ses
dernières années sont contemplés à cause des changements
d'arthrose de sa main droite, mais aussi à cause de ses
yeux plus faibles. Mais jusqu'à la fin de sa vie
Pestalozzi restait un coureur persévérant.
Une documentation du squelette en détail on trouve chez:
Etter, Hansueli F.:
Johann Heinrich Pestalozzi. Befunde und Folgerungen auf
Grund einer Untersuchung an seinen Gebeinen. Zürich 1984.
Dans ses oeuvres et dans ses lettres Pestalozzi n'écrit
presque rien sur ses maladies.