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Suisse: Les instituts d'école et les maisons des pauvres de Pestalozzi et son travail politique

Son impuissance de la comptabilité de l'entreprise - ses oeuvres comme écrivain et politique - ses instituts d'école avec enseignement pratique révolutionnaire - il reste presque tant pauvre comme ses pauvres enfants

Pestalozzi, Portrait
     Zürich, Grossmünster, Aquarell von Johann Jakob
                Meyer
Pestalozzi et Zurich, cathédrale. Aquarelle de Jakob Meyer 1828
Autrefois le "Limmatquai" n'était pas encore construit.

Résumé de Michael Palomino (2005)

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de: Arthur Brühlmeier / Gerhard Kuhlemann: www.heinrich-pestalozzi.info; sources des fotos à la fin.

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Contenu

La formation de Pestalozzi et ses idéales
  • Naissance - conditions de l'éducation - écoles à Zurich
  • Formation supérieure - image de la vie idéalisé par philosophie fausse - le groupe de Bodmer "Les patriotes" avec l'intention du changement de la société - Pestalozzi ne veut pas une administration dans une aristocratie discriminante
  • Changement profond de Pestalozzi: Apprentissage de l'agriculture - relation avec Anna Schulthess
Le temps au "Neuhof" (grange neuve) chez Birr 1769-1798
  • L'achat du domaine Neuhof près de Birr
  • L'idéal du paysan et de son travail chez Pestalozzi: Les voisins détruisent la récolte par droit coutumier - retraites de crédits - mauvaises récoltes résultent en faillite
  • Le fils Jean Jacques: Expériments d'éducation avec un enfant épileptique - mise en question des idéales de Rousseau - conclusions d'une solution intermédiaire
  • Pestalozzi comme éducateur des pauvres: Des mauvaises récoltes et manquant capitalisme résultent d'une nouvelle fois en faillite - isolation
  • L'écrivain Pestalozzi: Des livres, des écritures et des images comme un avertissement publique pour des réformes des circonstances sociales
  • Pestalozzi et la révolution:
    Citoyen d'honneur en France - le jugement diversifié de la révolution - des médiations politiques - l'expédition criminelle français - journal populaire helvétique
  • La question du champart: Abolition de l'impôt du champart sans installation des lois d'impôts générales - des écritures de Pestalozzi sur le champart - naufrage de la "république helvétique"
Stans et la lettre de Stans: 1798-1799 - la fin politique d'un orphelinat dans un couvent de femmes - le concept d'éducation intégrant dans la lettre de Stans
  • L'ouverture d'une maison des pauvres dans les tensions politiques de l'occupation française
  • La structure de la maison de pauvreté: La moralité en trois étapes: Sentir, agir et penser - les adversaires provoquent bientôt la fermeture - hôpital militaire - la "lettre de Stans" 1799
Berthoud (Burgdorf) et Münchenbuchsee: 1799-1804/05: Succès avec enseignement pratique - la constitution médiation sous concours de Pestalozzi à Paris
  • La résolution à devenir professeur - enseignement pratique célèbre à Berthoud (Burgdorf)
  • Guerre civile contre l'état unitaire - élaboration de la constitution médiation à Paris avec Pestalozzi - l'exigence de Pestalozzi pour la nouvelle forme de gouvernement de la Suisse
  • Le livre d'éducation de Pestalozzi: "Livre de la mère ou instruction pour la mère à ordonner et faire parler les enfants" (orig.: "Buch der Mütter oder Anleitung für Mütter ihre Kinder bemerken und reden zu lehren") 1803
  • Pestalozzi sans état unitaire - Berne laisse évacuer le château de Burgdorf - Münchenbuchsee - coopération avec Fellenberg naufrage - château de Yverdon pour Pestalozzi à vie
Yverdon: 1804-1825: Institut Pestalozzi fleurissant - pertes par une imprimerie - dispute des professeurs - profit par publications - Clendy
  • L'institut de Pestalozzis fait des pertes surtout à cause de l'imprimerie
  • L'organisation de l'enseignement: 60 heures école par semaine - expériences
  • Collaboration avec les parents - des randonnées pendant des semaines - sport et jeu
  • Le principe de la grande famille - Pestalozzi reste sans qualités de chef - dispute des professeurs entre eux
  • Exemple d'une dispute: Niederer falsifie le discours de Lenzbourg de Pestalozzi en 1809
  • La dispute concernant la succession de Pestalozzi en 1810: Les professeurs Schmid et Niederer - les réformes de Schmid on l'effet de l'hostilité des professeurs - départ de 16 professeurs, départ de Niederer - combat de Niederer contre Schmid - Schmid va à Paris
  • Contrat avec la maison d'édition Cotta 1817 - projet de la réouverture du Neuhof en 1818
Les chef-d'oeuvres de Pestalozzi pendant le temps à Yverdon 1804-1825
  • Pestalozzi: "Esprit et coeur dans la méthode" (orig.: "Geist und Herz in der Methode") 1805
  • Pestalozzi: "Points de vue et expériences" (orig.: "Ansichten und Erfahrungen") 1806
  • Pestalozzi: Discours pour le 72me anniversaire en 1818 avec des lignes de démarcation d'éducation
Dernières années au Neuhof: 1825-1827: Autobiographie, théorie d'éducation - livre diffamant de Niederer
  • Pestalozzi: "Chant du cygne" (orig.: "Schwanengesang") 1826: Autobiographie et théorie d'éducation

Les évènements concernant la tombe de Pestalozzi
  • Un monument funéraire en 1846
  • Trouvaille des ossements en 1984 et investigation médicinale: Les maladies de Pestalozzi

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La formation

Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard Kuhlemann: Enfance et jeunesse à Zurich: 1746-1768 (orig.: Kindheit und Jugend in Zürich: 1746-1768); http://www.heinrich-pestalozzi.info

Naissance - conditions de l'éducation - écoles à Zurich

Naissance de Johann Heinrich Pestalozzi le 12 janvier 1746 au Oberer Hirschgraben à Zurich. Un ancêtre, Johann Anton Pestalozza, était immigré au milieu du 16me siècle de Chiavenna à Zurich, comme marchant, sans expérience dans des fonctions publiques. Pendant le développement la famille achète le droit de citoyen urbain. Le grand-père fait des études en théologie et devient pasteur à Zurich-Höngg (autrefois une entière communauté pour soi).

Johann Heinrich Pestalozzi a 6 frères et soeurs, mais quatre meurent pendant l'enfance. Les circonstances de la famille à 5 personnes sont pauvres parce que le père Johann Baptist Pestalozzi  (1718-1751) ne gagne guère assez de l'argent pour une famille. En 1751 le père meurt et les circonstances deviennent encore plus pauvres.

La mère reçoit de l'aide des parents en meilleures circonstances de Richterswil au lac de Zurich, mais la famille ne change pas à Richterswil mais reste à Zurich ou le droit de citoyen urbain donne encore quelques privilèges, peut-être aussi à cause des écoles meilleurs pour les enfants. La mère Pestalozzi est caractérisée par les beaucoup des enfants morts et développe - ensemble avec la servante fidèle Barbara Schmid - une éducation anxieuse et trop surveillée, avec beaucoup d'ennui, beaucoup d'interdictions de contact et de jeu pendant la jeunesse. Des expériences importantes des secrets et des rapports sociales ne sont pas permis quoique Heinrich Pestalozzi ne se comporte pas équivalent à son age. Il est même taquiné comme "Henry prodigien de Thorlicken" (orig.: "Heiri Wunderli von Thorlicken"). Comme ça Heinrich Pestalozzi développe des conditions nerveux qui frappent à l'école. Après il sait refléter bien les raisons.


Formation supérieure - image de la vie idéalisé par philosophie fausse - le groupe de Bodmer "Les patriotes" avec l'intention du changement de la société - Pestalozzi ne veut pas une administration dans une aristocratie discriminante

Pestalozzi visite les écoles gratuites les plus supérieures que possible: Schola Carolina à la cathédrale, il fait ses études auf Collegium Carolinum rationaliste (une école de caractère d'une université), premièrement avec le but à devenir pasteur, mais après il fait le droit, et. al. avec le professeur Johann Jakob Bodmer (1698-1783). Bodmer fait un groupe avec Pestalozzi et d'autres étudiants se rencontrant chaque semaine dans la maison de la corporation des tanneurs. Le groupe se nomme "Société helvétique au tanneur" (orig.: Helvetische Gesellschaft zur Gerwe" ou bref "patriotes" et publie un propre journal  - le "Souveneur" (orig.: "Erinnerer"). On discute la philosophie, les divers formes de société et des idéales de la vie: Platon, Titus, Livius, Sallust, Cicero, Comenius, Macchiavelli, Leibniz, Montesquieu, Sulzer, Hume, Shaftesbury, Lessing, et surtout toujours Jean-Jacques Rousseau.

Mais la réalité à Zurich est une autre: Les quelques familles dirigeantes ont la puissance. Quand on critique la puissance de ces familles, quand on critique l'arbitraire ou quand on exige le droit on est poursuivi ou
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Pestalozzi 1766: La une de
                        "Agis", 1765
La une de "Agis", 1765

    
même puni d'un bannissement. Les prix pour les produits agricoles sont dictés et les lieux ou les paysans peuvent acheter leurs choses aussi. La commerce ou un métier plus grand est seulement le droit au citoyens privilégiés. Des fonctions dans l'état - charge de curé, au tribunal ou dans l'administration - sont réservés au citoyen urbains. Les familles puissante réagissent nerveux contre le groupe des "patriotes", mais Bodmer même jamais est attaqué.

Pestalozzi réclame tôt des coutumes purgées dans la société et dans l'état, une réforme d'état et und puissance juste avec égalité, séparation des pouvoirs ou la fin de l'exploitation de toute évidence du paysage et leurs habitant. Comme ça Pestalozzi gâche une fonction publique à Zurich qui normalement "compèterait" à lui comme citoyen urbain. Au lieu de ça Pestalozzi fait ses premières publications contre l'aristocratie urbaine comme p.e. "Agis" et "Voeux" (orig.: "Wünsche").

"Agis" c'est le premier oeuvre conservé publié en 1765 dans le journal de Lindau faisant attention de la censure de Zurich. Là dedans Pestalozzi décrit la politique de réforme du roi de Sparta Agis qui faillite à la résistance de l'aristocratie puissante et possédante. Ironiquement Pestalozzi remarque que ce ne serait "pas une satyre sur nos circonstances". En 1766 Pestalozzi publie une suite de scènes aphoristiques du "Souveneur" dans le journal "Voeux" ou Pestalozzi explicite son orientation critique.

Celui qui a autrefois un grand effet aux étudiants c'est Jean-Jacques Rousseau, avec son "contrat de société" et son "Émile" de 1762, propageant l'idéal d'une vie naturelle, vertueuse et libre, refusant la vie artificielle de la ville. Pestalozzi développait l'idée en plus à aider aux pauvres et aux gens sans droits aux paysage parce que lui il connait bien la situation de la population sans écoles et sans droits par la charge de curé de son grand-père.


Changement profond de Pestalozzi: Apprentissage de l'agriculture - relation avec Anna Schulthess

Pestalozzi réagit radicalement, rompe ses études avec 21 ans et se décide à devenir paysan resp. chef ("Monsieur") d'une domaine avec économie de profit. Pour apprendre les méthodes plus modernes
  


Carte avec la position de Kirchberg
Carte avec la position de Kirchberg

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d'autrefois de la cultivation des fruits et légumes il va en apprentissage chez Johann Rudolf Tschiffeli à Kirchberg (canton de Berne) en été 1767.

L'agriculture en ce moment est dans un grand changement: Les "sciences" de plus en plus actuelles refoulent la culture à trois assolement traditionnelle en faveur d'une utilisation intensive de la terre renforcé par un extra-fumage et  en même temps renonçant à l'année de repos. Tschiffeli est une force décisive de ce développement, et Pestalozzi lui copie, toujours comptant tenue du caractère artificiel de l'économie de l'argent selon Rousseau: La prospérité n'est pas l'argent mais sont les produits naturels de la terre et la liberté de commerce pour toutes les couches sociales [inclusivement des écoles gratuites].

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Anna Pestalozzi-Schulthess;
                          peinture en huile de F.G.A. Schöner, 1804

     



  
Anna Pestalozzi-Schulthess; peinture en huile de F.G.A. Schöner, 1804


Une autre motivation à se former dans l'agriculture c'est la liaison d'amour avec Anna Schulthess, 8 ans plus âgée que lui. Après le mort de l'ami commun des "patriotes" Johann Kaspar Bluntschli (sobriquet Menalk) se développe une relation d'amour avec une obligation morale à étoffer les idéales de Bluntschli. Il avait aussi été un pionnier pour l'égalité de toutes les couches sociales.

Chez famille Schulthess Pestalozzi reçoit une interdiction d'accès. La relation est maintenue par des rencontres secrètes et des lettres dont 468 lettres du temps entre printemps 1767 et le marriage en septembre 1769 sont conservées. Les lettres donnent l'expression de l'amour passionnante de Pestalozzi, mais Anna hésite au commencement, montre seulement graduellement un une complaisance froide, puis le la percée de la passion d'amour. Puis arrive le développement mutuel plein de poésie, humour et tendresse, puis la lutte commune pour la vérité et la vertu et la bataille pour l'amour contre les parents riches Schulthess avec toutes les humiliations et blessures.

Pestalozzi voit une perspective supérieure, arrive dans des réflexions impitoyables et en même temps il calcule avec l'aide de la parenté Schulthess. Il veut réaliser les idées d'éducation de Rousseau et il ne veut pas laisser développer ses fils d'une sorte artificielle de la ville. En même temps on a aussi des sons dépressives et mélancoliques avec des visions de maladie et mort. Mais la première chose c'est d'aller en campagne avec Anna. Il dévoue à l'illusion des peintures idylliques de la vie champêtre avec le but à révolutionner la vie des hommes.

Anna hésite contre les visions de Heinrich Pestalozzi pour des semaines et des mois jusqu'au moment dans lequel elle est sûr de son amour, témoigné dans la lettre en 19me aout 1767. Peu de temps après Pestalozzi commence son apprentissage agricole en septembre 1767. Le contact avec Anna est maintenu par des amis et des frères. En même temps Pestalozzi conserve un certain orgueil: Il finit l'apprentissage chez Tschiffeli déjà après neuf mois, retourne à Zurich et pense qu'il soit maintenant déjà un entrepreneur agricole...



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Carte de Birr près de
                              Schinznach-les-bains
Carte de  Birr près de Schinznach-les-bains
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Le temps au "Neuhof" chez Birr 1769-1798

Zusammenfassung aus: Arthur Brühlmeier, Gerhard Kuhlemann: Neuhofjahre: 1769-1798; http://www.heinrich-pestalozzi.info

L'achat du domaine Neuhof près de Birr

Pestalozzi achète près du village Birr (près de Schinznach-les-bains, aujourd'hui canton Argovie) une ferme et laisse construire une maison plutôt seigneuriale, le "Neuhof". Pendant ces 30 années Pestalozzi va réaliser plusieurs projets, parfois seulement partiellement réaliser avec des expériences.

À l'époque Birr était part de Berne.
(aus: Brühlmeier / Kuhlemann: Pestalozzi comme éducateur des pauvres (orig.: Pestalozzi als Armenerzieher); http://www.heinrich-pestalozzi.info)






L'idéal du paysan et de son travail chez Pestalozzi: Les voisins détruisent la récolte par droit coutumier - retraites de crédits - mauvaises récoltes résultent en faillite

Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard Kuhlemann: L'idéal du paysan et de son travail chez Pestalozzi (orig.: Das Ideal des Bauern und der Bauer Pestalozzi); http://www.heinrich-pestalozzi.info;

Chez Johann Rudolf Tschiffeli  pendant la formation Pestalozzi avait appris la cultivation des fruits, des légumes, la plantation et le soin de nouvelles plantes, la conservation des fruits des champs et des fruits, l'amélioration de la terre par des méthodes d'engrais, les calculs économiques nécessaires et le comportement envers les marchants. Cela devrait être suffisant pour l'entretien de la famille. En outre des divers sources financières sont disponibles: Un héritage riche de son père qui a mouru tôt, un prêt de l'oncle du côté maternelle, et une avance d'une banque zuricoise qui appartient lointain à la famille de Anna.

Dans des divers lettres à son idole Anna Schulthess Pestalozzi dit toujours et toujours que son activité devrait être compris pour le bien de tout le peuple. Comme ça Pestalozzi a moins d'expérience de la joie que plus le douleur, la renonciation et la déception. Pestalozzi achète au petit village Birr une territoire de plus que 20 hectares de plus que 50 paysans, un territoire classifié comme pré et champ pauvre, pour construire des nouvelles maisons, le "Neuhof", ou il éprouve son économie jusqu'à 1798 et retourne en 1825.

1798 à 1801 le "Neuhof" est dirigé par le seul fils de Pestalozzi, après son mort du second mari de la veuve survivante, à la fin du seul petit-fils de Pestalozzi, Gottlieb. Aujourd'hui le Neuhof est un institut d'éducation et de formation pour des jeunes menacés.

Pestalozzi veut appliqué des nouvelles méthodes de cultivation: nouvelles méthodes de fertilisation, la cultivation de l'esparsette / le sainfoin (Onobrychis viciaefolia) comme nouvelle plante fourragère, et la garance / rouge des teinturiers (rubia tinctorum) avec un colorant rouge pour l'industrie textile.


Saat-Esparsette / Esparsette /
                            sainfoin
Esparsette / sainfoin
Krapp-Pflanze / Garance /
                            rouge des teinturiers
Garance / rouge des teinturiers

Mais les difficultés se cumulaient dès le commencement. Le spéculant de territoire et restaurateur et boucher à Birr, Heinrich Märki, jouait un tour à Pestalozzi. La famille Schulthess ne lui donne pas des conseils concernant des choses commerciales. En même temps Pestalozzi a un caractère de ne pas accepter volontiers des conseils. Aussi sa femme Anna n'est pas une personne économe et la relation aux voisins ne peut pas se développer bien à cette base.

La méfiance et la défiance augmentent, les voisins détruisent ses cultures fragiles comme ça serait une pré et pendant l'année de friche ils laissent paître le menu bétail sur les champs de Pestalozzi comme pendant la culture à trois assolements d'autrefois selon un droit pas écrit. Premièrement Pestalozzi tente à corriger ça avec des bons mots, puis il prend des mesures avec des clôtures, et puis avec des actions judiciaires. Il gagne mais il perd définitivement le voisinage. Autres paysans diffament Pestalozzi chez ses argentiers, même le propre valet indique au banquier de Zurich que les chances de succès des projets de Pestalozzi ne seraient pas très grandes.

Le 12 aout 1770 le banquier déclare la faillite concernant l'entreprise Pestalozzi et retire son capital. On n'a pas encore récolté, et la charpente de la nouvelle maison n'est même pas encore construit... Maintenant donc la terre se montre comme inadapté pour la cultivation de garance. Les mauvaises récoltes en tout l'Europe de 1771 et 1772 pourrissent la situation encore, et Pestalozzi commence à éprouver la production animale, mais sans connaissances. Comme ça la montagne des dettes monte, et en 1774 la faillite arrive. Il vend son bétail, il afferme un grand part de son territoire et même comme ça il reste dans les dettes. La famille d'Anna lui règle les dettes, mais maintenant Pestalozzi a perdu sa réputation aussi chez ses beaux-parents.


Le fils Jean Jacques: Expériments d'éducation avec un enfant épileptique - mise en question des idéales de Rousseau - conclusions d'une solution intermédiaire


Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard Kuhlemann: Le fils Jean Jacques (orig.:Der Sohn Hansjakob); http://www.heinrich-pestalozzi.info

Jean Jacques Pestalozzi est né le 13 aout 1770 et baptisé sur le non Jean Jacques en l'honneur de Jean Jacques Rousseau. Il y a un fragment d'un journal du 27 janvier jusqu'au 19 février 1774 ou est décrit un essaie de structurer l'éducation selon les idéales de Rousseau. Pestalozzi fait un protocole la réalisation pratique des idéales pratiquement avec un jugement critique ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. Avec la dispute entre liberté et obéissance on a la première distance à Rousseau. Pestalozzi a une cognition importante:

"La vérité n'est pas unilatérale." Et il continue: "La liberté c'est un bien, et l'obéissance aussi. Nous devons connecter les deux ce que Rousseau (a) séparé. Lui, il était convaincu de la misère et il ne connaissait pas d'inhibition qui abaissait les sexes humains, et en même temps il ne connaissait pas des limites de liberté." (Édition des oeuvres complètes critique, PSW 1, p.127).

(orig.: "Die Wahrheit ist nicht einseitig." Und er fährt fort: "Freiheit ist ein Gut, und Gehorsam ist es ebenfalls. Wir müssen verbinden, was Rousseau getrennt (hat). Überzeugt von dem Elend einer unweisen Hemmung, die die Geschlechter der Menschen erniederte, fand er keine Grenze der Freiheit." (Kritische Gesamtausgabe, PSW 1, S. 127).


En même temps le fils Jean Jacques ("Jacqueli") est handicapé avec peu de "talent" et il a régulièrement des attaques épileptiques qui faiblissent sa santé. En même temps le fils est confronté avec beaucoup des enfants  négligés de la maison des pauvres du père qui lui dévoient encore en plus. Avec 3 ans déjà Pestalozzi veut apprendre le petit fils à lire, mais 8 années plus tard il doit avouer à Peter Petersen que se projet était totalement sans succès:

"Il ne sait même pas deux lignes de prière par coeur, il ne sait ni écrire ni lire.  J'espère avec dieu que cette ignorance soit la base d'une formation excellente et de sa joie de vivre. La providence me permet le laisser faire." (Édition des oeuvres complètes critique, PSB 3, p.132)

(orig.: "Er kann keine zwei Linien Gebete auswendig, er kann weder schreiben noch lesen. Ich hoffe zu Gott, diese Unwissenheit, in welcher die Vorsehung mir erlaubt, ihn lassen zu können, werde das Fundament seiner vorzüglichen Ausbildung und seiner besten Lebensgeniessungen sein." (Kritische Gesamtausgabe, PSB 3, S. 132)


Seulement avec 13 ans les Pestalozzis peuvent décider à finir l'isolation du fils au Neuhof et lui faire éduquer et former ailleurs. Le fils est donné auf marchand bâlois Felix Battier avec Peter Petersen comme instituteur privé. Les lettres sont collecté sous le nom de "Lettres de Petersen" (orig.: "Petersenbriefe"). Le fils "Jacqueli"  fait sa formation à Mulhouse, fait une formation de marchant chez la famille Battier à Bâle et puis retourne au Neuhof à Birr. En 1791 il marie Anna Magdalena Frölich et a un fils Gottlieb. "Jacqueli" meurt tôt en 1801. Le fils de Gottlieb Charles, l'arrière-petit-fils, reste sans femme et sans enfant. La ligne Pestalozzi disparaît comme ça.


Pestalozzi comme éducateur des pauvres: Des mauvaises récoltes et manquant capitalisme résultent d'une nouvelle fois en faillite - isolation

Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard Kuhlemann: Pestalozzi comme éducateur des pauvres (orig.: Pestalozzi als Armenerzieher); http://www.heinrich-pestalozzi.info

Après la faillite de l'agriculture Pestalozzi change et commence une commerce de coton: Il reçoit les ballots de coton crus chez la parenté de Schulthess et les laisse traiter dans l'entourage proche de Birr dans des pièces de filage et des pièces de tissage. Mais pour le profit capitaliste Pestalozzi n'a pas le talent. Aussi dans cette commerce les argentiers doivent accepter des pertes financières.

Mais en même temps Pestalozzi est convaincu que les enfants négligés peuvent seulement recevoir de l'aide avec du travail et de la culture pour être capable à gagner la vie en ordre plus tard. Il développe la pensée d'une école des pauvres avec filage, tissage, cultivation des légumes, avec une connection dans l'industrie textile fleurissante. Dès 1773 il accepte des pauvres enfants au "Neuhof" dans sa maison, nourriture, vêtements et maison gratuit, avec enseignement à travailler et avec éducation. Comme ça sa ferme devient une maison des pauvres en 1774, un nouveau espace pour des gens sans argent pour travailler contre la pauvreté, en 1776 avec 22 enfants déjà, en 1778 avec 37 enfants. Il laisse construire une pièce de fabrication et une maison d'enfants. Lui même il donne lire et calcul aux enfants. Le but devrait être à échauffer les enfants d'une vie morale en vérité et amour.

Pestalozzi reconnaît la situation sociale et son rôle, décrit dans ses écrits des pauvres, le plus fortement dans les trois lettres à Niklaus Emanuel Tscharner, un protecteur influant d'une noble famille de gouvernement de la ville et du canton de Berne. Birr autrefois est territoire de Berne, et Tscharner est le bailli de 1767 à 1773. Tscharner publie aussi des oeuvres de sa part sur l'éducation des pauvres dans les "Éphémérides de l'humanité" (orig.: "Ephemeriden der Menschheit"), un journal pour éthique politique publié du greffier bâlois Isaak Iselin. Donc le praticien Pestalozzi doit corriger quelques écrits théoriques de Tscharner, trois lettres qui sont aussi publiées dans les "Éphémérides".

Pestalozzi reste trop peu capitaliste et aussi sa maison des pauvres arrive en faillite. Pestalozzi arrive dans le piège des dettes: Il prête de l'argent chez des amis, des connaissances, chez la parenté et à la fin il publie une prière d'un prêt au publique. Il promet aux argentiers le remboursement des sommes dues parce qu'il est convaincu que les enfants - quand ils sont grands - vont maintenir l'entreprise avec du profit. Mais Pestalozzi se trompe: Les enfants - nettement vêtues, bien nourris et bien formés - sont pris des parents à la maison pour faire les travailler avec du profit dans la propre maison. En même temps les produits de la maison des pauvres manquent de qualité et l'on les vend des prix modérés au marché sans assez de profit.

D'autres mauvaises récoltes en 1776 et 1777 diminuent les recettes encore en plus. Une tempête en 1777 détruit presque toute la récolte de Pestalozzi. On doit acheter les réserves pour l'hiver. En 1778 son épouse
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Franziska Romana de Hallwil,
                            portrait
Franziska Romana de Hallwil


    
Anna même renonce à son héritage pour payer les dettes de Pestalozzi. Et en 1779 Pestalozzi doit liciter un tiers de son territoire. Le frère de Pestalozzi Baptist devrait réaliser cette affaire et donner l'argent reçu à Pestalozzi, mais Baptist prend le large avec la grande somme d'argent. Le 17 février 1780 il écrit d'Amsterdam une lettre de regret au cousin de Anna, Johann Georg Schulthess, qu'il avait déçu sa mère amante et qu'il ne va plus la voir. Puis on n'entend rien non plus de lui. Peut-être il a mouru dans des services de guerre étrangers ou il a parti pour l'"Amérique"...

Dans son résumé de la vie dans le "chant du cygne" (orig.: Schwanengesang") Pestalozzi écrit:

"Notre sort était résolu. Maintenant j'étais pauvre." (Édition des oeuvres complètes critique, PSW 28, p.234).

Pendant cette période ni les amis ni la parenté veut quelque chose à faire avec Pestalozzi. Le voisinage le bafoue en plus. Sa femme Anna Pestalozzi devient malade de trop de travail et doit se soigner des mois ailleurs, surtout chez la comtesse Franziska Romana de Hallwil, dès 19 veuve, avec amitié psychique à Pestalozzi même.



Dans cette situation Pestalozzi a encore deux grandes amis:





  

Isaak Iselin, portrait
Isaak Iselin
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-- la servente Elisabeth Näf ("Lisabeth"), depuis environs 1780 au Neuhof, ajustant les jardins laissés à l'abandon, respecté de Anna Pestalozzi et travaillant dans la maison Pestalozzi jusqu'à 1825

-- le clerc Isaak Iselin de la ville de Bâle qui reste à manifester son amour et sa grande estime, un représentant de "philanthropes" (amis de l'espèce humaine), un mouvement réformateur de toutes les sections de la vie en référence de Rousseau: Avec ses écrits il sauve Pestalozzi de son désespoir.

Pestalozzi continue à songer d'une maison des pauvres couronné de succès. Pour un temps court il va réaliser ses rêves à Stans et Berthoud (dt. Burgdorf) et pour un temps plus long à Yverdon.


L'écrivain Pestalozzi: Des livres, des écritures et des images comme un avertissement publique pour des réformes des circonstances sociales

Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard Kuhlemann: Der Schriftsteller Pestalozzi; http://www.heinrich-pestalozzi.info

Pestalozzi est arrivé en faillite mais il continue avec ses idées à améliorer les circonstances sociales du monde. Il se réfugie dans la peinture et littérature à accuser les circonstances pour les enfants en publique: Avec l'encouragement d'Isaac Iselin il peint et écrit des gens et ses circonstances de vie. Comme ça on a 60 écrits grandes et petites comme par exemple les livres populaires "Lienhard et Gertrud" (quatre volumes, dans le quatrième volume  dans le chapitre 41ème la "philosophie d'un lieutenant"), et "Christophe et Else", "L'heure de la soirée", "De la loi et le meurtre d'enfant", "Journal Suisse", "Fables" et "Enquêtes". Là-dedans Pestalozzi montre ses connaissances sociologiques, avec des détails juridiques et historiques, comme auteur de roman, comme éducateur et philosophe qui se confronte aux questions principales.

Le temps entre 1780 et 1798 a le valeur comme le temps la plus fertile concernant les écrits et comme "temps de la grande crise de la vie". Pestalozzi subit de plus en plus de sa propre pauvreté, de son isolement, du mépris, et surtout du jugement général à être inutilisable. Pendant le processus d'apprentissage il trouve le chemin entre la bonté et l'égo de l'homme qui est à contrôler. La croyance aux forces internes de l'homme et aussi les sentiments religieuses refroidissent, partiellement il même commence à méfier les gens. Une série de faillites c'est une honte pour lui, mais il continue à ne pas travailler à ses qualités de direction.

Partiellement il travaille dans sa ferme, il fait commerce de détail avec du travail en chambre concernant une imprimerie de tissu, il commence des relations avec d'autres personnalités à l'intérieur et en étranger et il cherche toujours de nouveaux travaux pédagogiques ou politiques. Il spécule à un emploi au cours de l'empereur à Vienne qui pourrait arranger son ami Iselin sous l'empereur Joseph II. social et progressif. Il écrit des critiques des livres, il arrange dans des situations politiques tendues et - comme citoyen urbain - il fait une demande d'emploi même comme directeur d'une fabrication de soie zurichoise seulement pour avoir assez de l'argent.

Dans le livre "Lienhard et Gertrud" Pestalozzi donne l'image de soi-même en contact littéraire avec le ministre des affaires de finance de Vienne, comte Charles Johann Christian de Zinzendorf, et dès 1787 aussi avec le frère de l'empereur, duc Léopold de la Toscana. Jusqu'à 1792 Pestalozzi compte sur un renouvellement interne de la noblesse par se oeuvres à succès et par cela un emploi dans la noblesse. Après que ses oeuvres ne montrent pas d'effet il réduit cet oeuvre en 1790/92 en trois volumes. Après le mort de Joseph II. en 1790 et le mort de son successeur Léopold en 1792 la relation entre Pestalozzi et Vienne est rompue.

L'écrit "De la loi et le meurtre d'enfant" est écrit en connection d'un sujet de concours en Allemagne: "Lesquelles sont les mesures les meilleures à préserver à un meurtre d'enfant sans favoriser la paillardise en même temps?" On avait une récompense de 100 ducats - donné d'un inconnu - pour être assez attractif pour une révision d'une façon rationaliste concernant la législation pénal pour explorer les motivations de la jeune mère.

Le "Journal Suisse"  (orig.: "Schweizer Blatt") est un journal littéraire hebdomadaire de l'année 1792 pour la publication des textes de soi-même. Mais les textes sont tellement compliqués que le journal ne trouve pas beaucoup de lecteurs et la même année le journal disparaît.

Pendant l'année 1797 Pestalozzi publie l'oeuvre philosophique le plus important: "Mes enquêtes sur le processus de la nature pendant le développement du genre humain" (orig.: Meine Nachforschungen über den Gang der Natur in der Entwicklung des Menschengeschlechts"). C'est le moyen terme entre idéal, réalisme et pessimisme, avec la distinction d'une nature "animal", "basse", "sensitive" et une nature "plus haute", "éternelle", "interne" et "divine" d'une autre côté. Pestalozzi conserve ce modèle tendu du monde spirituelle pendant toute sa vie.


Pestalozzi et la révolution:

Citoyen d'honneur en France - le jugement diversifié de la révolution - des médiations politiques - l'expédition criminelle français - journal populaire helvétique


Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard Kuhlemann: Pestalozzi und die Revolution; http://www.heinrich-pestalozzi.info

Aussi pendant la révolution et l'écroulement de la monarchie en France dès 1789 Pestalozzi est encore convaincu à sauver "le pure absolutisme" avec une pénétration sociale dans ses structures. Soudain le 26 aout 1792 il est élu - à côté de 16 autres personnalités signifiantes de l'Europe - comme seul suisse pour citoyen d'honneur de la France. Beaucoup de questions de la révolution sont les mêmes comme les idéales de Pestalozzi, ainsi par exemple les imaginations concernant le ressort de la commerce et de la liberté d'agir comme commerçant, la liberté de la presse, la liberté de la religion, l'élimination des impôts injustes, l'élimination de la loi des taxes et des améliorations de la formation du peuple. Mais on trouve aussi des différences concernant le terme égalité que Pestalozzi n'estime jamais spécialement, et ce qui concerne le terme de la liberté que Pestalozzi voit différencié.

Dès la convocation à être citoyen d'honneur de la France la pensée démocratique est omniprésent chez Pestalozzi. Mais son jugement sur la révolution est différentié, et il renonce aux massacres et à la violence, par exemple dans son écrit de révolution jamais édité "Oui ou non?" Louis XIV. aurait fait touts les hommes mal de même façon et comme ça les gens se comporteraient aussi pendant la révolution. Les révolutionnaires accompliraient seulement ce que l'absolutisme aurait produit comme base spirituelle.






Johann Kaspar Lavater, pasteur de la
                            cathédrale des femmes (Fraumünster)     
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Johann Kaspar Lavater, pasteur de la cathédrale des femmes (Fraumünster)


Aussi en Suisse les couches sociales opprimées s'élèvent contre l'aristocratie établée. Les nouveaux-riches de l'industrie textile réclament des lois politiques, une constitution avec des droits pour les habitants du paysage, la liberté de commerce, la liberté de métier, des écoles supérieures aussi pour les enfants du paysage, une formation d'officiers aussi pour les enfants du paysage, une fiscalité juste avec des impôts aussi pour les commerçants, les indistruelles et les citoyens de la ville et avec un allègement des paysans et avec la demande que les communautés petites vont récupérer les droits que les villes avaient volés d'eux. Comme les villes réagissent avec des arrestations et des bannissements Pestalozzi devient un avocat du peuple et compose trois écrits. Le 5 juillet 1795 Zurich occupe d'un jour à l'autre la ville Stäfa. La médiation de Pestalozzi en coopération avec son ami de jeunesse et pasteur à la cathédrale des femmes Johann Kaspar Lavater peut empêcher des jugements de mort.

Dès 1793 Napoléon commence avec une réforme de structure guerrier en tout l'Europe avec des campagnes en Italie, 1794 en Suisse. Pestalozzi calcule que la France fait de la pression et la Suisse va réaliser le changement structurel soi-même. Mais Pestalozzi n'a pas calculé avec la faim d'argent de l'état de la
   


Napoleon / Napoléon
Napoléon laisse
piller et violer...


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France. En février 1798 en Suisse on concède à toute la population du paysage l'égalité avec la promesse d'une liberté, égalité et fraternité selon la constitution, et malgré tout les français entrent en Suisse au commencement du mars 1798 avec 15.000 soldats rompant la dernière résistance. Ils occupent le pays, ils pillent la caisse d'état transportant l'or dans des tonneaux sur des chars à boeuf lourds à Paris, ils démolissent  le pays et violent les femmes et les filles. Le pasteur zurichois Lavater conjure la résistance dans une proclamation.

La France établie en Suisse un état unitaire ("République Helvétique") avec une partition en cantons nouveaux arbitraire et sans législative: Les cantons ont seulement encore la fonction exécutive du grand conseil (législative) et du directoire (exécutive). Comme ça la constitution progressive ne gagne pas de sympathie malgré de la clairvoyance des hommes importantes du directoire. Pestalozzi en même temps voit qu'on va accomplir ses demandes sociales et politiques qu'il avait faits pendant 30 années. Ainsi il résolue à servir à l'état, et
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Philipp Albrecht Stapfer (1766-1840),
                          portrait
Philipp Albrecht Stapfer (1766 -1840)

    
l'occasion est favorable parce que l'un des cinq directeurs du directoire est Philipp Albrecht Stapfer. Pestalozzi reprend  la rédaction du "Journal populaire helvétique" (orig.: "Helvetisches Volksblatt") qui est le vrai porte-voix du gouvernement helvétique. Dans cette fonction comme rédacteur - mais aussi avec beaucoup des tracts Pestalozzi tentait à transmettre au peuple le sens et les chances de la révolution. En même temps il rappelle aussi au nouveau gouvernement à réaliser leurs promesses.

La nouvelle constitution n'a presque pas des amis parce que les révolutionnaires aussi attaquent fortement l'église et le christianisme et interdisent aux pasteurs chaque travail politique. Ils laissent même contrôler les sermons et l'enseignement. On a des troupes étrangères dans le pays et l'on doit prêter un serment à la nouvelle constitution par la force des armes. Comme ça la population ne se sent pas libre. Par conséquent le travail de Pestalozzi comme rédacteur reste sans succès. Ses textes enseignantes et souvent dédaigneux sont déplacés. Tout de même il reste chef du "Journal populaire helvétique" jusqu'à la fin de 1798.


La question du champart: Abolition de l'impôt du champart sans installation des lois d'impôts générales - des écritures de Pestalozzi sur le champart - naufrage de la "république helvétique"

Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard Kuhlemann: La question du champart (orig.: Die Zehntenfrage); http://www.heinrich-pestalozzi.info

D'une façon particulière Pestalozzi s'engage ce qui concerne la question du "champart". La livraison de 10 % des produits agricoles devrait financer la vie pour les pères spirituels en service de la proclamation chrétienne. Avec le développement de l'économie de l'argent la livraison  devient un impôt pour l'église et les cloîtres. Après la Réformation et après l'élimination des cloîtres le champart  - qui est seulement payé des paysans - est pris de l'état pour le financement des écoles, des hôpitaux, des maisons des pauvres, des églises et des personnes privées. Mais l'aristocratie reste sans impôts et les paysans riches peuvent se racheter de l'impôt du champart, par exemple par des salaires additionnelles dans l'industrie du coton. Traditionnellement les paysans de la Suisse Centrale (Uri, Schwytz, Unterwalden) se sont rachetés du devoir du champart au plus tard.

Á l'occasion de l'invasion les français promettent en mars 1798 l'abolition de l'impôt du champart. Puis les français agissent trop vite. On abolie toutes les impôts féodales déjà en mai 1798 sans avoir établi un système fiscale commun. Comme ça l'état reste sans recettes. En même temps la population discute si le champart est une livraison publique ou une dette privée. Dans le deuxième cas on aurait la nécessité de se racheter au sens de rembourser une dette.

Á ce thème du champart Pestalozzi publie le prétendu "Premier tract sur le champart" (orig.: Erstes Zehntenblatt: Über den Zehnten"), un tract en forme d'une dispute entre des paysans. Là-dedans Pestalozzi montre d'une part que le champart est injuste, que le champart ralentit le "progrès" agricole, et qu'il faudrait un impôt général sur les fortunes.  Ainsi il développe le plan à privatiser les territoires communales qui souvent sont en jachère pour les utiliser intensivement et pour donner les profits aux possesseurs comme compensation pour le champart. Ainsi serait fait une situation sans perdants avec un équilibre des impôts pour tout l'organisme social.

Mais le tract est difficile à lire et malentendu. On lui injure comme supporteur de la "bande du champart". Pestalozzi publie un "Second tract sur le champart": "Traité sur la nature des champarts helvétiques et les frais territoires et l'incompatibilité avec les mesures de la révolution qu'on a fait à cause du champart" (orig.: "Abhandlung über die Natur der helvetischen Zehnten und Bodenzinse und die Unpassendheit aller ihrethalben in der Revolutionszeit genommenen Massregeln"). Il montre clairement le développement du champart depuis le Moyen Age et prouve clairement comment la livraison de la loi privée originalement devenait un impôt publique injuste et comment les paysans qui se rachètent de l'impôt de champart ruinent les autres. Mais en même temps il voit comment la situation de la nouvelle République Helvétique s'aggrave de plus en plus catastrophiquement et pour sauver le nouvel état toutes les autres buts devraient être subordonnés.  Le bien de la chose entière et sa priorité. C'est pourquoi il réclame aux paysans à la fin du tract à payer le champart jusqu'à ce qu'on aurait établi les nouvelles lois qui règlent les recettes de l'état. Mais personne écoute Pestalozzi, et donc la "République Helvétique" va bientôt naufrager...



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Stans et la lettre de Stans: 1798-1799 - la fin politique d'un orphelinat dans un couvent de femmes - le concept d'éducation intégrant dans la lettre de Stans

Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard Kuhlemann: Stans et la lettre de Stans (orig.: Stans und der Stanser Brief): 1798-1799; http://www.heinrich-pestalozzi.info



Pestalozzi à Stans avec des enfants.
                            Peinture en huile de K. Grob, 1879 (musée
                            d'art de Bâle).
Pestalozzi à Stans avec des enfants. Peinture en huile de  K. Grob, 1879 (musée d'art de Bâle).

Pestalozzi à
                              Stans avec ses enfants au soleil. Peinture
                              en huile de A. Anker, 1870 (musée d'art de
                              Zurich).
Pestalozzi à Stans avec ses enfants au soleil. Peinture en huile de A. Anker, 1870 (musée d'art de Zurich).



L'ouverture d'une maison des pauvres dans les tensions politiques de l'occupation française

Stans c'est l'origine du mythe "Pestalozzi" surtout à cause de les deux peintures en huile de Grob (1879) et Anker (1870). Pestalozzi s'établit comme père des orphelins au milieu des enfants dans le soleil. Mais la
    
 
Carte: La position de Stans et les
                            canton du canton Nidwald.



agrandirCarte: La position de Stans et les canton du canton Nidwald.

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réalité est un peu plus complexe.

Après l'invasion française et le débâcle définitif de la "Vieille Confédération Helvétique" Pestalozzi c'est déjà en mai que Pestalozzi commence à faire des offerts pour la réalisation de ses projets d'éducation du peuple. Le directoire - l'exécutive à cinq personnes de le "République Helvétique" - aussi accorde une somme tant grande pour un institut. Mais il manque en emplacement convenant.

En même temps les tensions à l'intérieur de la "République Helvétique" augmentent à cause de la structure de l'état centralisé. Les gens de la Suisse Centrale par exemple pensent que la croyance catholique soit menacé et la France répond avec des expéditions punitives quoi que seulement Nidwald reste contre la politique centrale française à la fin. Pestalozzi accepte l'invasion dans le "Journal Populaire Helvétique" pour sauver l'unité de l'état. Il croit d'une naïveté que les soldats français vont seulement patrouiller. Mais le canton Nidwald n'est pas seulement occupé mais aussi mis à sac: Aussi Stans est brûlé. Á cette occasion le gouvernement prend la décision à ouvrir une maison pour les orphelins avec le Pestalozzi réformé comme chef.

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Château entouré d'eau de Hallwil
Château entouré d'eau de Hallwil




     
L'ouverture de la maison des pauvres de Pestalozzi le 14 janvier 1799 dans l'ancien cloître de femmes [St. Claire] de Stans ne commence pas à des bons conditions: La population est catholique et Pestalozzi a propagé l'occupation. Comme soutien reste seulement le pasteur catholique de Stans, Businger, qui est ouvert à des innovations. Après 6 semaines on a admis déjà 80 enfants qui sont seulement observés de Pestalozzi et une servante. Pestalozzi calcule que ça serait possible maintenant à réaliser touts ses idées pédagogiques des dernières 20 années. Pendant ce temps sa femme Anna Pestalozzi est au château de Hallwil chez la comtesse Franziska Romana. Sa vision qu'il va réaliser "une des plus grandes idées de ce moment" est exprimé dans les lettres de Hallwil (édition des oeuvres complètes critique, PSB 4, p.18).

La structure de la maison de pauvreté: La moralité en trois étapes: Sentir, agir et penser - les adversaires provoquent bientôt la fermeture - hôpital militaire - la "lettre de Stans" 1799

Ce qui domine c'est l'éducation morale dans une communauté de vie et la confrontation avec les nécessités du quotidien. La morale devrait se développer dans trois étapes avec la satisfaction des nécessités
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Henry Zschokke, portrait


Henry  Zschokke: D'origine un branden- bourgien il provoque l'insuccès de Pestalozzi [peut-être aussi pour des raisons politiques comme vengeance que Pestalozzi protégeait l'invasion française au lieu de s'orienter à la côté allemande? On ne le sait pas].
    
primaires comme première étape, avec l'enseignement des habitudes faisant des bonnes choses comme deuxième étape et comme troisième avec la conversation sur la morale. Sentir (coeur), agir (main) et penser (tête) devraient devenir le contrôle morale de l'intention. La morale ne devrait pas être installée avec un discernement rational mais devrait être enracinée dans la région émotionnellement. On avait l'école entre 6 et 8 heures le matin et 4 et 8 heures le soir, le reste était formation artisanal. Mais pour l'organisation du lien entre la pratique et l'enseignement spirituel ne reste presque pas de temps.

Mais la maison des pauvres a des grandes adversaires: Henry Zschokke, commissaire de gouvernement à Lucerne, ne veut plus tolérer Pestalozzi qui est critiqué de toutes côtés, et aussi le pasteur de Stans Businger va de plus en plus avec l'opinion de la population. Comme ça il semble pratique que l'ancien cloître de femme de Stans pourrait être transformé dans un hôpital militaire
   


Carte: La position du Gurnigelbad
                              entre Berne et Thoune.
agrandirCarte: La position du Gurnigelbad entre Berne et Thoune.

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français. Les enfants sont distribués chez la parenté, et seulement 22 enfants restent sous la garde de pasteur Businger.

Pestalozzi quitte Stans le 9 juin 1799. Il est physiquement surmené et dans un choque psychique à cause de la destruction soudaine de son oeuvre d'éducation. Il suit un temps de quelques semaines de repos au Gurnigelbad au paysage supérieure bernois chez le patron Zehender. Là Pestalozzi écrit un oeuvre avec ses expériences et ses pensées, la "lettre de Stans", qui est beaucoup cité et interprété jusqu'à aujourd'hui: "Lettre à un ami sur mon séjour à Stans" (orig.: "Brief an einen Freund über meinen Aufenthalt in Stans").

Le récepteur de la "lettre de Stans" n'est plus possible à déterminer. Des récepteurs possibles sont le libraire zurichois Heinrich Gessner qui était aussi le récepteur des 14 lettres "Comment Gertrude enseigne ses enfants" (orig.: "Wie Gertrud ihre Kinder lehrt"), ou le secrétaire du ministre helvétique Stapfer, J. R. Fischer qui avait arrangé le séjour au Gurnigelbad pour Pestalozzi. La publication de la lettre va suivre seulement en 1807 avec des annotations de Niederer durant le temps de Pestalozzi à Yverdon dans le premier volume du "Hebdomadaire pour enseignement du genre humain" ("Wochenschrift für Menschenbildung"). Dans le neuvième volume de l'édition Cotta de 1822 la lettre est publiée sans les annotations de Niederer. Puis on trouve la lettre de Pestalozzi dans l'édition des oeuvres complètes critique sous le numéro PSW 13, p.1-32.

De la "Lettre de Stans" on peut deviner les difficultés de Pestalozzi:

-- on devait comprendre la situation des enfants

-- on devait prévaloir les réserves contre Pestalozzi comme représentant de la République Helvétique et comme réformé (Édition des oeuvres complètes critique, PSW 13, p. 5 et p. 8-9).

-- on devait faire publique à la commune le lien entre l'éducation publique et l'éducation privé

-- on devait réaliser les trois étapes d'une éducation morale: "courses quotidiennes" et développement de la confiance, actions morales, et à la fin la réflexion dans des discours de cela
 (Édition des oeuvres complètes critique, PSW 13, S. 9-10, p. 16 et p.. 19; et PSW 13, p.8)

-- réalisation du lien entre l'enseignement et le travail industriel manuel - les enfants devraient s'aider mutuellement - élémentarisation de l'enseignement primaire ainsi que les mères adoptent partiellement l'éducation en interaction (Édition des oeuvres complètes critique, PSW 13, p.26, p.29 et p.30).

[Une grande faute de la pédagogie Pestalozzi: Courses quotidiennes traumatiques

Pour les enfants l'obligation des "courses quotidiennes" est absolument ennuyeux. Les enfants n'ont pas besoin des "courses quotidiennes" pour développer de la confiance envers des gens avec une formation pédagogique. L'obligation des "courses quotidiennes" a un effet contre la fantaisie quoi que les enfants développent une résistance intérieure contre la personne dirigeante. Les enfants qui aiment les "courses quotidiennes" vont aussi être attaqué des autres enfants. Une conséquence en plus c'est que des enfants "vilains" vont être punis avec des "courses" et comme ça les "courses" auront un effet traumatisant].



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Berthoud (Burgdorf) et Münchenbuchsee: 1799-1804/05: Succès avec enseignement pratique - la constitution médiation sous concours de Pestalozzi à Paris

Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard Kuhlemann: Berthoud et Munchenbuchsee (orig.: Burgdorf und Münchenbuchsee) 1799-1804/05; http://www.heinrich-pestalozzi.info

La résolution à devenir professeur - enseignement pratique célèbre à Berthoud (Burgdorf)

Pestalozzi continue à être inquiété auprès des circonstances désolantes dans la plupart des écoles de village. Dans "Comment Gertrude enseignes ses enfants" il décrit les "écoles pas psychologiques"
    
 
Carte: Les positions de Berthoud
                            (Burgdorf) et Münchenbuchsee.



   
agrandirCarte: Les positions de Berthoud (Burgdorf) et Münchenbuchsee.

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comme "machines artificielles qui étouffent les enfants" (orig.: "künstliche Erstickungsmaschinen". Dès l'age de cinq ans

"on fait soudain disparaître toute la nature autour de leurs yeux, on arrête la marche charmante en forme de leur aisance et de leur liberté; on les jette  dans une chambre emmerdante comme des moutons en forme des piles, on les enchaîne implacablement pour des heures, des jours, des semaines, des mois et des années à voir des lettres misérables, ternes et uniformes, et l'on les achaîne dans une situation qu'on pourrait devenir fou avec une marche handicapée pendant toute la vie."

(orig.: Ab dem fünften Altersjahr "macht man auf einmal die ganze Natur um sie her vor ihren Augen verschwinden; stellt den reizvollen Gang ihrer Zwanglosigkeit und ihrer Freiheit tyrannisch still; wirft sie wie Schafe in ganze Haufen zusammengedrängt in eine stinkende Stube; kettet sie Stunden, Tage, Wochen, Monate und Jahre unerbittlich an das Anschauen elender, reizloser und einförmiger Buchstaben und an einen mit ihrem vorigen Zustand zum rasend werden abstechenden Gang des ganzen Lebens)."

Pestalozzi compare cette procédure comme un pas "de la vie au mort" (Édition des oeuvres complètes critique, PSW 13, S. 198-199).

[Mais avec les courses quotidiennes isolés on fait aussi mourir la fantaisie].

Maintenant Pestalozzi veut encore devenir professeur, avec 53 ans. Autrefois c'est une profession d'un salaire bas et une profession méprisé. Le ministre de l'éducation helvétique Stapfer aurait bien donné à
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Le château de Berthoud (Burgdorf) en
                          1760 environs.
Le château de Berthoud (Burgdorf)
en 1760 environs.




     
Pestalozzi un poste de chef d'une nouvelle institution de formation des professeurs parce qu'il manquait encore d'une formation systématique des professeurs dans le nouvel état. Mais Pestalozzi premièrement voulait faire des expériences avec les petits enfants. Stapfer nomme son secrétaire Rudolf Fischer comme directeur d'école normale d'instituteur et lui attribue le château de Berthoud (Burgdorf) comme domaine. Fischer permet à Pestalozzi un travail au château de Burgdorf.

Mais les autorités sceptiques laissent travailler Pestalozzi seulement à la prétendu "école Hintersass" (orig.: Hintersassenschule) pour un certain temps. Pestalozzi révolutionne maintenant l'enseignement de l'école: Il s'efforce à enseigner d'une sorte naturelle et psychologique. Pendant le processus d'apprentissage devraient être stimulés toutes les sens en même temps, sans livres d'école. Avant d'apprendre à lire on devrait apprendre à penser, et toutes les connaissances devrait avoir sa base dans l'enseignement pratique. Après huit mois les écoliers doivent passer un examen et les succès sont tant clairs qu'on lui confie une classe des garçons supérieure dans la ville.

En même temps le directeur de l'école normale d'instituteur Fischer ouvre un séminaire, mais il tombe gravement malade et peu après il meurt (le 4 mai 1800). Pestalozzi peut unifier sa classe de garçon avec l'école créée de Fischer dans le château et comme ça il pose les fondements de l'institut d'éducation à Berthoud (Burgdorf), une connection entre école de garçon, institut de pension pour des écoliers extérieurs, école normale d'instituteur et orphelinat. L'enseignement devrait être intégré dans une communauté de vie ou les énergies de la tête, de la main et du coeur pourraient se développer en harmonie. Avec ses idées Pestalozzi gagne un certain nombre d'employés, et le gouvernement helvétique soutient le projet beaucoup.

L'école normale d'instituteur attire un grand nombre de spectateurs. Pestalozzi travaille intensivement avec ses employés au développement d'une nouvelle méthode d'enseignement pour en rendre comte pédagogiquement au public. Par conséquent Pestalozzi écrit quelques tracts entre eux le tract de base "Comme Gertrude enseigne ses enfants" (orig.: "Wie Gertrud ihre Kinder lehrt"). Maintenant Pestalozzi devient un grand éducateur et rénovateur de l'école populaire. Des centaines des érudits et des politiciens arrivent de toutes les pays pour voir Pestalozzi et ses employés au travail et regarder les succès d'enseignement. Berthoud (Burgdorf) devient - comme plus tard Yverdon - une étape obligatoire sur les voyages culturelles qui vont être en vogue: en Suisse et en Italie.

Le 15 aout 1801 le seul fils de Pestalozzi Jean Jacques meurt avec seulement 31 ans. Sa femme change dans la maison de Pestalozzi à Berthoud, et une année après aussi la femme de Pestalozzi, Anna, change de même façon à Berthoud.


Guerre civile contre l'état unitaire - élaboration de la constitution médiation à Paris avec Pestalozzi - l'exigence de Pestalozzi pour la nouvelle forme de gouvernement de la Suisse

Après la retraite des troupes françaises de la Suisse en 1802 se développe un second rond de la guerre civile en faveur ou contre l'État unitaire helvétique. Par conséquent Napoléon laisse occuper la Suisse une seconde fois et ordonne pour l'hiver 1802/1803 une assemblé de représentants suisses à Paris pour élaborer une nouvelle constitution (constitution médiatique). Pestalozzi est envoyé à Paris aussi bien de sa ville natale de Zurich que de la ville de Berthoud, mais après il rentre en avance sans prendre part à la fête finale solennelle le 19 février 1803 aux tuileries. Comme ça Pestalozzi manque la seule occasion à voir Napoléon personnellement.

Maintenant Pestalozzi demande des nouvelles structures d'état dans divers tracts:

-- pas de réintroduction du champart

-- pas de recensement (droit à voter selon la fortune)

-- des charges fiscales justes

-- diffusion de l'enseignement générale du peuple.

Mais dans la constitution médiatique de 1803 manque un article d'éducation, et la confédération légère des cantons presque indépendantes est introduit de nouveau. Par exemple la constitution cantonale zurichoise fait la définition de la liberté et de l'égalité, mais en même temps on a des nouvelles restrictions par le droit de champart et le droit du recensement. Une égalité des droits est seulement réalisé dans les couches sociales possédantes supérieures, et les tract de Pestalozzi n'avaient pas (encore) une force décisive.

[Les développement napoléoniens avaient aussi la conséquence des pertes territoires pour la Suisse]:

Karte der Schweiz 1789
agrandirCarte de la Suisse en 1789
Karte der Schweiz 1806
agrandirCarte de la Suisse en 1806


Le livre d'éducation de Pestalozzi: "Livre de la mère ou instruction pour la mère à ordonner et faire parler les enfants" (orig.: "Buch der Mütter oder Anleitung für Mütter ihre Kinder bemerken und reden zu lehren") 1803

Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard Kuhlemann: Yverdon 1804-1825; http://www.heinrich-pestalozzi.info

Cette instruction de Pestalozzi pour les mères est publié en 1803 déjà (Édition des oeuvres complètes critique, PSW 15, p.341-424), en grande parti rédigé par son employé Hermann Krusi. Les thèmes les plus importantes sont la pratique des problèmes, la connaissance de la situation et la conclusion des hommes mêmes. Le livre contient des exercices concernant la pratique et nommer le propre corps et les activités qui sont possible. Mais pour Pestalozzi cet oeuvre est seulement un essai, un premier commencement.


Pestalozzi sans état unitaire - Berne laisse évacuer le château de Burgdorf - Münchenbuchsee - coopération avec Fellenberg naufrage - château de Yverdon pour Pestalozzi à vie

Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard Kuhlemann: Berthoud et Munchenbuchsee (orig.: Burgdorf und Münchenbuchsee) 1799-1804/05; http://www.heinrich-pestalozzi.info

Pour Pestalozzi la nouvelle constitution médiatique a des conséquences graves parce que le soutien du gouvernement centrale est perdu. Le gouvernement de Berne demande aussi la clôture de l'institut jusqu'au 1er juillet 1804 pour installer une nouvelle résidence au secrétaire supérieure de Berne (orig.: "Oberamtmann"). Premièrement l'institut de Pestalozzi change au cloître à Münchenbuchsee, avec une terre exemplaire et une maison d'éducation à Hofwil comme voisin sous la direction de Philipp Emanuel de Fellenberg. Fellenberg impressionne les gens avec son économie. La collaboration avec Pestalozzi faillite en 1804 justement à cause de l'économie à vues bornées: Fellenberg n'accepte pas que Pestalozzi accepte des enfants des pauvres circonstances dans sa maison gratuit.

Maintenant il semble que Pestalozzi ait enfin de la chance: Après le départ des prévôts de Berne le canton de Vaud - nouvellement formé et avant territoire d'occupation bernois - met à disposition le château à Yverdon, : Pestalozzi peut installer son institut d'éducation à vie et gratuit.


Carte du canton de Vaud avec la
                          position de Yverdon
Carte du canton de Vaud avec la position de Yverdon



Le château de Yverdon (dt. Iferten)
Le château de Yverdon (dt. Iferten)

[L'architecture du château avec les tours rondes aux coins est une copie de l'architecture arabe palestinienne, copié pendant les croisades].


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Yverdon: 1804-1825: Institut Pestalozzi fleurissant - pertes par une imprimerie - dispute des professeurs - profit par publications - Clendy

Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard Kuhlemann: Yverdon 1804-1825; http://www.heinrich-pestalozzi.info

En commun avec trois professeurs Pestalozzi établit son nouvel institut dès l'août 1804 dans le château d'Yverdon (Iferten). En même temps à Münchenbuchsee Fellenberg joue le roi avec des décisions autocratiques et devient impopulaire chez les gens de Pestalozzi et chez les enfants ainsi qu'ils changent aussi à Yverdon en 1805. L'institution Pestalozzi a son influence maintenant comme un impulse pédagogique surtout en Allemagne, là surtout en Prussie, mais aussi en France, en Éspagne, en Italie, en Angleterre, en Russie et en "Amérique". Pestalozzi installe une commission dirigeante avec Pestalozzi et quatre autres collaborateurs. Chaque matière a son propre chef élu de la commission.


L'institut de Pestalozzis fait des pertes surtout à cause de l'imprimerie

L'institut fleurisse, et jusqu'à 1809 on a 165 garçons, 31 professeurs et sous-professeurs, 32 séminaristes et 10 membres de la famille de Pestalozzi avec des bonnes, tout ensemble presque 250 personnes. Selon le principe de la ségrégation sexiste on a installé un institut des filles juste à côté du château. Mais se qui concerne le calcul capitaliste Pestalozzi reste pas capable: L'institut travaille sans budget et sans comptabilité. Pestalozzi demande trop peu pour l'enseignement et presque un tiers des écoliers peuvent assister gratuit. Les professeurs travaillent seulement pour le gîte et le couvert, et l'imprimerie affiliée produit des grandes pertes.

En même temps Pestalozzi éprouve à réactiver la maison des pauvres au Neuhof, mais le gouvernement de 1807 ne lui donne pas de soutien.

[Quand Pestalozzi aurait passé un diplôme de comptabilité cela aurait peut-être été autrement...]


L'organisation de l'enseignement: 60 heures école par semaine - expériences

On a surtout de travail en groupe et l'enseignement en groupes. Les écoliers enseignent ses camarades. L'horaire comprend plus ou moins le triple d'un horaire d'aujourd'hui en Allemagne ou en Suisse, ca. 60 heures pleines par semaine. On a des matières comme mathématique (arithmétique et algèbre), morphologie, dessiner, géographie, histoire, langue allemande et française, religion, nature (chimie, physique, zoologie, botanique), latin, gymnastique, chant, comptabilité et écrire des lettres. L'horaire n'est pas toujours le même parce que Pestalozzi comprend son institut comme une école expérimentale. Pendant des certains temps les enfants ont une ou quelques heures par jour pour apprendre individuellement.

Les conditions chez les enfants sont très divers entre extrêmement doué, normalement doué, moins doué, comportement dérangé et difficile à enseigner. L'age est au moins 7 ans. Les écoliers de plus de 11 ans sont admis seulement exceptionnellement. Avec 15 ans on est dégagé ou on travaille comme séminariste.

L'enseignement prend place souvent en pleine air pour des observations, des descriptions et à copier des plantes, des formes de paysage, des animaux ou des roches. Dans le travail artisanal on apprend à travailler avec la scie, le marteau, le rabot et le tour, systématiquement. Les écoliers aident faire le ménage, dans l'imprimerie et dans l'atelier de relieur de l'institut, travaillent partiellement dans les ateliers du menuisier, du mécanicien, de l'horloger et du tourneur à Yverdon, et ils ont des animaux (des lapins) et ils cultivent leur propres planches.


Collaboration avec les parents - des randonnées pendant des semaines - sport et jeu

Pestalozzi installe une collaboration intensive avec les parents et les même demande à donner des critiques. Chaque jour les visiteurs peuvent voir les salles de classe. Les professeurs responsables de classe sont obligés à donner une orientation auprès des progrès des enfants aux parents. Des notes ou des bulletins n'existent pas. Pestalozzi ne veut pas comparer les enfants l'un avec l'autre mais stimuler les forces et les dispositifs dans l'enfant sans mesurage de performance.

Les vacances on fait comme randonnée pendant des semaines, dans les Alpes et en étranger avoisiné, avec des préparations par la lecture des descriptions de lieu, description du voyage, études des cartes, puis pendant les randonnées avec pratique directe comme part de la science de la nature et de la géographie.

Dans l'institut on a toujours de sport et des jeux, avec nager dans le lac, en hiver avec la construction des château de neige et patinage.


Le principe de la grande famille - Pestalozzi reste sans qualités de chef - dispute des professeurs entre eux

On vie ensemble comme dans une grande famille. Les professeurs supérieurs et sou-professeurs (séminaristes entre 16 et 20 ans) ont des grandes libertés comme aussi les écoliers, sans instructions fixes et interdictions. Les décisions sont individuelles dans chaque cas. En été les garçons sont pieds nus et sans chapeau (comme il est l'obligation ailleurs). Le mouvement naturel ne devrait pas être gêné. L'ambition, l'humiliation, la colère, la méfiance et punition de corps ne sont pas de coutume. Les professeurs n'ont leur autorité que par l'autorité, le charisme et la force de persuasion. Ils vient, mangent et dorment dans les mêmes pièces comme les garçons.

Pestalozzi se voit même comme un père et comme donneur d'impulsion spirituel. Il laisse se nommer aussi "père Pestalozzi". Il est écrit et surveille le travail des professeurs. Il laisse faire des rapports sur les écoliers, il accueille les visiteurs et il compose les mots d'avertissement journaliers pour la grande famille, et il tient des discours aux fêtes etc. Mais Pestalozzi ne peut pas se libérer de ses propres contradictions. Sa faiblesse de ne pas être une personnalité dirigeante continue. Comme ça pendant plus que 15 des 20 années à Yverdon (Iferten) on trouve une atmosphère empoisonnée. Partiellement les disputes provoquent des publications ou même des démarches juridiques. La réputation de l'institut et la ruine ne sont pas loin.

Une des raisons est sûrement la faiblesse dirigeante de Pestalozzi: pas de qualités d'organisation et de direction. Ainsi c'est par exemple Karl Justus Blochmann, professeur 1809-1816 à Yverdon, qui écrit:

"Tant souvent quand je vois l'inoubliable [Pestalozzi] quand j'étais encore proche de lui, il me semblait comme un grand enfant avec toute sa splendeur de la nature enfantine, mais aussi avec les faiblesses et  l'imperfection. La pureté et l'innocence, la croyance et l'amour, la clémence et le dévouement de l'enfant ont orné et ont anobli son âme jusqu'à la vieillesse, mais la tranquillité et la réflexion, la circonspection et la prudence, la domination claire sur les circonstances et les personnes qui ornent l'homme, ils lui manquaient totalement [...] En dépit de ses grandes idéales comprenant tout le monde il n'avait pas la capacité et le savoir-faire à gouverner même la plus petite école de village."

(orig.: "So oft, wenn ich den Unvergesslichen [Pestalozzi] anschaute, als ich ihm noch nahe stand, erschien er mir wie ein gross gewordenes Kind mit aller Herrlichkeit der kindlichen Natur, aber auch mit den Schwächen und Unvollkommenheiten derselben. Die Reinheit und Unschuld, der Glaube und die Liebe, die Milde und Hingebung des Kindes schmückten und adelten seine Seele bis ins Greisenalter, aber die Ruhe und Besonnenheit, die Umsicht und Vorsicht, die klare Herrschaft über Zustände und Personen, die den Mann zieren, mangelten ihm in hohem Grade. [...] Er besass trotz seiner grossen, die ganze Menschheit umfassenden Ideale nicht Fähigkeit und Geschick, auch nur die kleinste Dorfschule zu regieren.")


Exemple d'une dispute: Niederer falsifie le discours de Lenzbourg de Pestalozzi en 1809

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Johannes-Niederer (1779-1843)
Johannes Niederer (1779-1843)

    
En 1809 on fonde la "Société des amis d'éducation de la Suisse". Pestalozzi est élu comme président. Pendant l'inauguration le 30 aout 1809 Pestalozzi fait un discours,  ainsi nommé le discours de Lenzbourg "Sur l'idée de la formation élémentaire" (orig.: "Über die Idee der Elementarbildung", édition des oeuvres complètes critique PSW 22, S. 1-324). Le collaborateur Johannes Niederer complète le discours par beaucoup raisonnements de sa part et comme ça il commande le discours. Mais maintenant la diction de Pestalozzi avec beaucoup des images et passionnante est toujours interrompue avec un langage philosophique d'un effet présomptueux qui trahit les travaux de Niederer à assimiler les pensées de pratique de Pestalozzi avec le système des idées de Schelling.



La dispute concernant la succession de Pestalozzi en 1810: Les professeurs Schmid et Niederer - les réformes de Schmid on l'effet de l'hostilité des professeurs - départ de 16 professeurs, départ de Niederer - combat de Niederer contre Schmid - Schmid va à Paris

Les professeurs et autres disputent qui va succéder Pestalozzi  après sa retraite, surtout Joseph Schmid (1785-1851) et Johannes Niederer (1779-1843):

-- Joseph Schmid, fils d'un paysan de Vorarlberg (Autriche), écolier de Pestalozzi, puis un grand professeur de mathématique, un solitaire, tend à l'esprit autoritaire, sans égards, pas aimé chez les autres, mais avec un sens pour justice et avec une vue claire pour la réalité, avec la demande à la méticulosité.

-- Johannes Niederer, d'un esprit autoritaire, avec une formation supérieure de théologie et puis employé chez Pestalozzi, avec des activités dans la discussion philosophique contemporaine, avec l'ambition à coordonner l'éducation de Pestalozzi avec la philosophie idéaliste, à Yverdon il est locuteur, philosophe de l'institut et le chef des affaires à l'extérieur, il ouvre une imprimerie de l'institut, il lutte littérairement avec des adversaires de Pestalozzi, et il n'a guerre du temps pour l'enseignement même, partiellement il forme les livres de Pestalozzi décisivement et à cause de cela il se sent supérieur aux autres professeurs.

En 1810 après une grande dispute dans l'assemblé des professeurs Schmid quitte l'institut de Pestalozzi avec quatre autres professeurs pour réorganiser le système scolaire en Autriche. Mais l'idéologue Niederer n'est pas capable à guider l'institut Pestalozzi et à l'occasion du mariage entre Niederer et la dirigeante de la maison des filles en 1814 il laisse rentrer Schmid. À l'occasion du mariage Pestalozzi donne à Niederer l'institut des filles comme présent, il semble avec la supposition que Niederer devrait aussi travailler seul pour son salaire. Dès 1815 Schmid se retrouve à Yverdon fixe et tout de suite commence à réformer: Arrêt de la guerre littéraire, fermeture de l'imprimerie de la maison, comptabilité serrée, congédier presque la moitié des professeurs, un horaire plus grand pour les professeurs qui restent. Ces réformes sont un peu trop d'un coup avec l'effet d'une hostilité de presque touts les professeurs.

Après le mort de la femme de Pestalozzi Anna la dispute entre les professeurs se développe rapidement, et Pestalozzi même reste seulement le désespoir. Des conjurations à servir à une bonne chose ont aucun résultat. En 1816 ce sont 16 professeurs qui quittent l'institut. Niederer forme son départ en 1817 comme pasteur dans l'église du château sur la chaire, interrompt son sermon, commence avec ses reproches et se distance en publique. Mais le départ de Niederer n'est jamais fini. Il lutte contre Pestalozzi avec les demandes financières à cause de l'institut des filles "donné", avec l'arrière-pensée contre le réformateur Schmid. Malgré des appels à la paix de Pestalozzi il provoque un procès au tribunal. Comme le tribunal favorise Pestalozzi à la fin Niederer n'arrête pas jusqu'à ce que Schmid est expulsé du canton de Vaud et puis aussi du Neuhof officiellement. Après cela [après le mort de Pestalozzi] Schmid commence à réaliser un institut de Pestalozzi à Paris.


Contrat avec la maison d'édition Cotta 1817 - projet de la réouverture du Neuhof en 1818

Pendant la même année 1817 Pestalozzi peut faire un contrat avec la maison d'édition Cotta concernant la publication de touts ses oeuvres. Enfin Pestalozzi pourrait avoir disponible des sommes d'argent plus grandes de son propre travail. Dans son discours à l'occasion de son 72me anniversaire il annonce la réouverture de la maison des pauvres au Neuhof à Birr et promet à user les 50'000 Francs pour le développement de sa méthode d'enseignement et d'éducation, pour la formation des professeurs, pour établir des écoles de modèle, et pour le travail permanent de son "livre pour la mère dans le salon"
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Yverdon-Clendy: Armenzentrum
                            Pestalozzi heute

Yverdon-Clendy: Centre des pauvres Pestalozzi aujourd'hui

    
(orig.: "Mutter- oder Wohnstubenbuch". Mais Pestalozzi n'est pas un bon calculateur. Il distribue l'argent déjà à l'avance.

Le collaborateur Joseph Schmid est contre le Neuhof. Au lieu du Neuhof on ouvre une maison des pauvres à Clendy près d'Yverdon [aujourd'hui un quartier d'Yverdon], en connection d'une école d'industrie et d'une école normale d'instituteurs.

Après une année seulement [en 1819?] on unifie les deux instituts de Yverdon. L'argent déjà distribué n'arrive pas tant vite. Seulement en 1821 Pestalozzi reçoit les premiers 10'000 Francs. En 1824 Pestalozzi doit déclarer sa fondation officiellement naufragée et annulée (Édition des oeuvres complètes critique, PSW 27, S.111), et en 1825 l'institut Pestalozzi est annulé complètement inclusivement la maison des pauvres à Clendy.


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Les chef-d'oeuvres de Pestalozzi pendant le temps à Yverdon 1804-1825

Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard Kuhlemann: Yverdon 1804-1825; http://www.heinrich-pestalozzi.info

Malgré les disputes presque sans cesse on trouve un grand nombre d'oeuvres de Pestalozzi pendant ce temps à Yverdon, par exemple "Avis et expériences" (orig.: "Ansichten und Erfahrungen" et "À l'innocence" (orig.: "An die Unschuld"). On trouve surtout encore la troisième version de l'oeuvre "Lienhard et Gertrude" (orig.:  "Lienhard und Gertrud"), le tract "Esprit et coeur dans la méthode" (orig.: "Geist und Herz in der Methode", 1805) et "Sur l'idée de la formation élémentaire" (orig.: "Über die Idee der Elementarbildung",  discours de Lenzbourg). Entre les beaucoup discours faits à Yverdon c'est surtout le discours d'anniversaire de 1818 qui est importante.


Pestalozzi: "Esprit et coeur dans la méthode" (orig.: "Geist und Herz in der Methode") 1805

Dans "Esprit et coeur dans la méthode" (édition des oeuvres complètes critique, PSW 18, p.1-52) Pestalozzi s'adresse contre le jugement simple de son institut seulement à la base des succès d'enseignement. Les choses pas directement mesurables seraient plus importantes: Gaieté, fidélité enfantine et conscience au professeur, formation à l'obéissance et à la réflexion. Il stresse que la formation n'est pas une plantation des connaissances de l'extérieure mais a sa base dans la stimulation intérieure des talents. Mais il juge les forces de la tête et du coeur pas équivalents parce que la formation intellectuelle pour soi-même n'est pas convenable à provoquer les forces intérieures qui mènent l'homme au sentiment de sa dignité interne et qui mène à la découverte de son être divin qui est dans sa nature interne. Selon Pestalozzi ils ne se développent pas par la force de l'intellect en pensant mais par la force du coeur en aimant. Pestalozzi voit l'avantage de sa méthode d'éducation justement là-dedans que penser et aimer sont lié, nommé comme "Méthode", plus tard comme "Idées de la formation élémentaire":

"Elle [la méthode] apprend l'enfant à aimer dans toutes les pensées et penser dans l'amour entière."

(orig.: "Sie lehrt das Kind in allem Denken lieben und in aller Liebe denken." Édition des oeuvres complètes critique, PSW 18, S. 37).

[Les modèles pour les enfants, les professeurs disputants, sont justement le contraire...]


Pestalozzi: "Avis et expériences" (orig.: "Ansichten und Erfahrungen") 1806

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Pestalozzi-Maske aus Terrakotta 1809


Masque de Pestalozzi en terracotta 1809; masque du corps vivante en 1809 de J.M. Christen de la part du prince héritier Louis de Bavière, selon des trouvailles du squelette en 1984 authentique.
    
À Yverdon Pestalozzi travaillait aux livres divers en même temps. Beaucoup des oeuvres étaient retouchés, copiés des collaborateurs et retouchés, unifiés avec des autres tracts, préparés pour des éditions partielles ou complètes et pois pas publiés ou seulement partiellement publiés. Ce sort à subi spécialement le livre "Avis, expériences et moyens pour la promotion d'une sorte d'éducation appropriée à la nature humaine", bref "Avis et expériences" (orig.: "Ansichten, Erfahrungen und Mittel zur Beförderung einer der Menschennatur angemessenen Erziehungsweise" (bref: "Ansichten und Erfahrungen") de 1806. Pendant la vie de Pestalozzi on réalisait seulement des publication partielles. La base de l'oeuvre se constitue de 20 manuscrits, et la publication complète est comme ça aussi un oeuvre de Émanuel Dejungs, l'éditeur pendant des années de l'édition complète critique.

L'oeuvre commence - comme dans beaucoup de ses oeuvres - avec une rétrospective, avec une description de la carrière pédagogique, avec une présentation du développement et des idées fondamentales de sa méthode d'une éducation naturelle, avec l'éducation à la maison comme base morale et religieuse. Comme ça il formule les demandes à une expérience d'éducation et nomme les critères de jugement. La modification de la méthode selon les circonstances sociales est essentielle. L'établissement de la nouvelle éducation devrait être réalisée avec un renouvellement de l'instruction publique et avec des écoles expérimentaires. En même temps l'influence des personnes spéciales comme chef de l'école et comme des politiciens importantes doit être reconnue.

Pestalozzi: Discours pour le 72me anniversaire en 1818 avec des lignes de démarcation d'éducation


Le discours de Pestalozzi à l'occasion de son 72me anniversaire le 12 janvier 1818 (édition des oeuvres complètes critique PSW 25, p.261-364) est un des oeuvres les plus importantes. La première édition a 173 pages. Elle a été publié sans collaboration de Niederer est comme ça elle est particulièrement intéressante. Là-dedans on trouve Pestalozzi avec son caractère passionné traditionnel, originalité et indépendance philosophique. Pour expliquer les règles et les connections pédagogiques il choisit souvent des images de la vie organique.

La chose la plus impressionnante est la comparaison du développement de l'homme et d'un arbre au commencement du discours:

"L'image de l'éducation, l'être intérieure sainte d'une meilleure éducation, je le voit devant mes yeux dans un image d'un arbre planté à un ruisseau. C'est quoi un arbre? Il vient d'où? avec ses racines, son tronc, ses branches, ses rameaux, ses fruits? Voilà, tu met un petit noyau dans la terre. Dans le noyau se trouve l'esprit de l'arbre. Dans le noyau se trouve le naturel de l'arbre. Lui il est la graine de l'arbre." (Édition des oeuvres complètes critique, PSW 25, p.265).

(orig.: "Das Bild der Erziehung, das innere, heilige Wesen einer besseren Erziehung steht im Bild eines Baums, der an den Wasserbächen gepflanzt ist, vor meinen Augen. Siehe, was ist er? Woraus entspringt er? Woher kommt er mit seinen Wurzeln, mit seinem Stamm, mit seinen Ästen, mit seinen Zweigen, mit seinen Früchten? Siehe, du legst einen kleinen Kern in die Erde. In ihm ist des Baumes Geist. In ihm ist des Baumes Wesen. Er ist des Baumes Samen." (Édition des oeuvres complètes critique, PSW 25, p. 265).

Pestalozzi compare la graine concentré et son développement dans un arbre avec l'esprit de l'homme dans le bébé qui se développe jusqu'au esprit d'une existence humaine complète, veut dire à une vie de la base de la croyance et de l'amour. Pour le développement de l'arbre et pour le développement de l'homme c'est l'entourage qui est important. En même temps l'organisme humain soit animal mais pas encore un animal, "il est l'organisme d'une enveloppe sensuelle avec un être divin là-dedans qui a là sa base et vie là" (orig.: "er ist der Organismus einer sinnlichen Hülle, in der ein göttliches Wesen ruht und lebt", édition des oeuvres complètes critique, PSW 25, S. 268)

Pendant le développement les gens peuvent décider quelles influences et quelle "terre" on veut avoir. Sur le  thème de l'arbre et du développement Pestalozzi a aussi fait un de ses rares poèmes:

Faksimile: Der Baum (PSW 23, S.
                        327-329) Jung geschützt,
jung gestützt,
wachst er grad
vom Boden auf
dem Himel an.
Jung gedrückt,
jung gebükt,
wachst er krum
vom Himel ab
zum Boden hin.   
Jung gezogen,
alt verbogen,
ist so wahr
als jung gebogen,
wohl gezogen.
Jung verzogen,
alt verkrüppelt,
ist mehr wahr
als jung gebogen,
wohl gezogen.
Jung geschützt,
jung gestützt,
wachst er grad
vom Boden auf
zum Himel an.
Jung gedrükt,
jung gebükt,
wachst er krum
vom Himel ab
zum Boden hin.



   Manuscrit du poème de Pestalozzi
   "L'arbre" (orig.: Der Baum): PSW 23,
   p. 327-329
Français:
Protégé jeune,
appuyé jeune,
il grandit droit
du sol vers le ciel.
Pressé jeune,
courbé jeune,
il grandit tordu
pas vers le ciel
mais vers le sol.
Gardé jeune,
tordu comme vieux,
c'est vrai
comme tordu jeune,
bien gardé.
Gondolé jeune,
estropié vieux
c'est plus vraie
que courbé jeune,
bien gardé.
Protégé jeune
appuyé jeune
il grandit droit
du sol vers le ciel.

Pressé jeune,
courbé jeune,
il grandit tordu
pas vers le ciel
mais vers le sol.

Dans des autres parts de son discours Pestalozzi touche les améliorations de l'éducation dans les familles divers avec l'aide d'un livre d'éducation comme livre populaire. Les éléments de vie élémentaires devraient être appris aux parents.

Pour Pestalozzi un livre comme ça est tellement important qu'il dépense même un part de la fondation pour l'élaboration de ce projet. Comme préparations pour un tel oeuvre peuvent être estimées les 34 "lettres à Greaves sur le développement de la vie spirituelle de l'enfant" (orig.: "Briefe an Greaves über die Entwicklung des kindlichen Geisteslebens" en 1818/1819. Ils ne sont pas conservés en original mais seulement dans une traduction en anglais.

Plus tard Emanuel Dejungs devient l'éditeur de l'édition des oeuvres complètes critique pour des années.
 
Pestalozzi 1818: Lithographie nach G.A.
                          Hippius
Pestalozzi 1818: Lithographie selon G.A. Hippius




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Dernières années au Neuhof: 1825-1827: Autobiographie, théorie d'éducation - livre diffamant de Niederer

Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard Kuhlemann: Dernières années au Neuhof (orig.: Letzte Lebensjahre auf dem Neuhof) 1825-1827; http://www.heinrich-pestalozzi.info

Après l'expulsion de Schmid du canton de Vaud Pestalozzi quitte le canton avec lui es ses derniers élèvent l'institut pour retourner au Neuhof en mars 1825. Pestalozzi n'avait pas encore perdu son rêve à réanimer l'ancienne maison des pauvres. En collaboration de son petit-fils Pestalozzi construit un "nouvel" Neuhof, encore plus seigneurial qu'avant.

Avec presque 80 années Pestalozzi commence a construire des maisons de sa propre main.
(de: Arthur Brühlmeier, Gerhard Kuhlemann: Années au Neuhof (orig.: Neuhofjahre): 1769-1798; http://www.heinrich-pestalozzi.info)


Pestalozzi: "Chant du cygne" (orig.: "Schwanengesang") 1826: Autobiographie et théorie d'éducation

Au Neuhof Pestalozzi écrit son dernier grand oeuvre, le "Chant du cygne". En gros le livre constitue de deux parts: une autobiographie et une présentation complète de sa méthode d'éducation. Mais la maison d'édition Cotta ne veut pas publier les disputes de Yverdon. Ainsi les disputes d'Yverdon sont publiés chez Fleischer à Leipzig en 1826 sous le titre: "Mes sorts de la vie comme chef de mon institut d'éducation à Berthoud (Burgdorf) et Iferten (Yverdon)", (orig.: "Meine Lebensschicksale als Vorsteher meiner Erziehungsinstitute in Burgdorf und Iferten", édition des oeuvres complètes critique, PSW 27, p. 215-344).

Là-dedans il compare la réalité à Yverdon avec ses idées, et il fait la conclusion que Yverdon n'était pas cela ce qu'il voulait réaliser. Au commencement il se critique soi-même, mais c'est évident qu'il juge et condamne aussi le travail de ses nombreux collaborateurs comme ça. Le travail de Schmid est considéré meilleur que le travail de Niederer. À la fin Pestalozzi publie la lettre pour Niederer que Pestalozzi avait livré personnellement à Niederer le 1ter février, comme preuve de son veux de réconciliation. La dernière phrase reste comme ça:

"Je suis et je reste aujourd'hui encore du même sentiment que j'étais quant j'ai écrit cette lettre."

(orig.: "Ich bin und bleibe heute noch in der nämlichen Gesinnung, in der ich war, als ich diesen Brief schrieb." Édition des oeuvres complètes critique, PSW 27, p. 344).


L'achèvement du nouveau bâtiment au Neuhof Pestalozzi ne le peut plus voir.

Pestalozzi meurt au milieu des pauvres enfants d'une nostalgie à être un bon père.
(de: Arthur Brühlmeier, Gerhard Kuhlemann: Années au Neuhof (orig.: Neuhofjahre): 1769-1798; http://www.heinrich-pestalozzi.info)


Niederer lui-même reste sans inconciliable et laisse publier un écrit calomnieux chez le collaborateur Éduard Biber (1801-1874), 25 ans: "Contributions pour la biographie de Henry Pestalozzi et pour la contemplation de ses écrits les plus nouvelles: 'Mes sorts de la vie etc.' contemplé selon ses propres lettres et écrits, et prouvés avec d'autres documents" (orig.: "Beiträge zur Biographie Heinrich Pestalozzis und zur Betrachtung seiner neuesten Schrift: 'Meine Lebensschicksale u.s.f.' nach dessen eigenen Briefen und Schriften betrachtet, und mit anderen Urkunden belegt" (St. Galle, janvier 1827).

Pestalozzi n'a plus la force à répondre publiquement et à la fin - dans ses conditions de fièvre - il ne voit plus que sa plume n'a plus d'encre. Pestalozzi meurt trois semaines après la lecture calomnieuse le 17 février 1827 à Brougg (Brugg) et il est enterré le 19 février à Birr au mur latéral de la vieille école.



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Les évènements concernant la tombe de Pestalozzi

Résumé de: Arthur Brühlmeier, Gerhard Kuhlemann: Les dernières années au Neuhof (orig.: Letzte Lebensjahre auf dem Neuhof) 1825-1827; http://www.heinrich-pestalozzi.info


Un monument funéraire en 1846

En 1846 le canton d'Argovie construit le monument funéraire avec l'épitaphe de Augustin Keller qui existe encore aujourd'hui:

Sauveurs des pauvres au Neuhof,
Prêcheur du peuple dans Lienhard et Gertrude,
À Stans père des orphelins,
À Berthoud et Münchenbuchsee
Fondateur d'une nouvelle école populaire,
À Yverdon éducateur de l'humanité,
Homme, chrétien, citoyen,
Tout pour les autres, rien pour soi-même.
Bénédiction à son nom!
(orig.: Retter der Armen im Neuhof,
Prediger des Volkes in Lienhard und Gertrud,
Zu Stans Vater der Waisen,
Zu Burgdorf und Münchenbuchsee
Gründer der neuen Volksschule,
Zu Iferten Erzieher der Menschheit,
Mensch, Christ, Bürger,
Alles für Andere, für sich Nichts.
Segen seinem Namen!)

Trouvaille des ossements en 1984 et investigation médicinale: Les maladies de Pestalozzi

En 1984 pendant des travaux au monument funéraire on trouve par hasard le caveau dans laquelle étaient changé les dépouilles mortelles en 1846, et l'on trouve le squelette complet. Les analyses anthropologues et pathologiques donnent quelques résultats importants:

-- dans sa jeunesse Pestalozzi avait probablement presque 170 cm, pendant son mort encore ca. 165 cm

-- la masque vivante fameuse de Pestalozzi de 1809 est originale, les nombreux portraits ont beaucoup de formes libres artistiques. Le dessin de Hippius ressemble aux proportions le meilleur

-- pendant ses dernières années Pestalozzis n'avait plus de dents et il avait des changement d'arthrose, surtout concernant les articulations dernières de sa main droite, mais aussi concernant la région de la vertèbre cervicale, pas anormal pour un homme de son age qui avait écrit beaucoup dans toute sa vie

-- on trouvait une fracture de son articulation de la main gauche qui n'était pas soignée, et l'on trouvait l'opération d'un percement au foret du crâne derrière l'oreille droite (trépanation) - qui est décrit dans les oeuvres de Pestalozzi - pour l'écoulement du pus d'une otite

-- les changements visibles de son écriture pendant ses dernières années sont contemplés à cause des changements d'arthrose de sa main droite, mais aussi à cause de ses yeux plus faibles. Mais jusqu'à la fin de sa vie Pestalozzi restait un coureur persévérant.


Une documentation du squelette en détail on trouve chez: Etter, Hansueli F.: Johann Heinrich Pestalozzi. Befunde und Folgerungen auf Grund einer Untersuchung an seinen Gebeinen. Zürich 1984. Dans ses oeuvres et dans ses lettres Pestalozzi n'écrit presque rien sur ses maladies.


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Index des fotos

- Pestalozzi, Portrait: http://www.riley-smith.com/hamish/rarebooks/b39.htm

Zurich
- Zurich, cathédrale. Aquarelle de Jakob Meyer 1828:
de: http://www.bueda-zh.ch/index30.htm
- La une de "Agis", 1765: de: http://www.heinrich-pestalozzi.info

Kirchberg, Birr et les expériences d'agriculture
- Carte avec la position de Kirchberg: Kümmerly und Frey Verlag 2001
- Anna Pestalozzi-Schulthess; peinture en huile de F.G.A. Schöner, 1804: de: http://www.heinrich-pestalozzi.info
- Carte de  Birr près de Schinznach-les-bains: de: http://www.koi-breeder.ch/media/files/Plan.jpg
- Esparsette / sainfoin: de: http://www.schlipphak.de/start.htm
- Garance / rouge des teinturiers: de: http://www.langusch.de/weitere%20Kr%E4uter/Thumbs.html
- Franziska Romana de Hallwil: de: http://www.ag.ch/hallwyl/de/pub/geschichte/familiengeschichte.htm
- Isaak Iselin: de: http://www.ahneninfo.com/de/genealogien/iselinisaak.htm
- Johann Kaspar Lavater, pasteur de la cathédrale des femmes (Fraumünster): de: Université Neuchâtel: http://bpun.unine.ch/IconoNeuch/Portraits/A-Z/L.htm

La période à Stans
- Napoléon laisse piller et violer...: de: http://www.nga.gov/kids/napoleon/nap1.htm
- Philipp Albrecht Stapfer (1766 -1840): de: http://www.heinrich-pestalozzi.info
- Pestalozzi à Stans avec des enfants. Peinture en huile de  K. Grob, 1879 (musée d'art de Bâle): de: http://www.heinrich-pestalozzi.info
- Pestalozzi à Stans avec ses enfants au soleil. Peinture en huile de A. Anker, 1870 (musée d'art de Zurich): de: http://www.heinrich-pestalozzi.info
- Carte: La position de Stans et les départements du canton Nidwald: de: http://de.wikipedia.org/wiki/Stans
- Château entouré d'eau de Hallwil: de: http://www.raonline.ch/pages/agc/agcschhallwil01.html
- Henry Zschokke: D'origine un brandenbourgien il provoque l'insuccès de Pestalozzi: de: http://de.wikipedia.org/wiki/Johann_Heinrich_Daniel_Zschokke

La période à Berthoud et à Münchenbuchsee
- Carte: La position du Gurnigelbad entre Berne et Thoune: Kümmerly et Frey 2001
- Carte: Les positions de Berthoud (Burgdorf) et Münchenbuchsee: Kümmerly et Frey 2001
- Le château de Berthoud (Burgdorf) en 1760 environs: de: http://www.heinrich-pestalozzi.info
- Carte de la Suisse en 1789; Carte de la Suisse en 1806: de: Putzger: Historischer Atlas 1975, S.82, 93

La période à Yverdon
- Carte du canton de Vaud avec la position de Yverdon: de: http://www.resto.ch/shared/cadre-fr.php?ct=vd
- Le château de Yverdon (dt. Iferten): de: http://yverdon.nordvaudois.ch/presentation.html
- Johannes Niederer (1779-1843): de: http://www.heinrich-pestalozzi.info
- Yverdon-Clendy: Centre des pauvres Pestalozzi aujourd'hui: de: http://www.centrepestalozzi.ch/clendy.htm
- Masque de Pestalozzi en terracotta 1809: Masque du corps vivante en 1809 de J.M. Christen  de: http://www.heinrich-pestalozzi.info
- fac-similé: Der Baum (L'arbre) (PSW 23, S. 327-329): de: http://www.heinrich-pestalozzi.info
- Pestalozzi 1818: Lithographie selon G.A. Hippius: de: http://www.heinrich-pestalozzi.info


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